jeudi 17 novembre 2005

PROBLEME - SOLUTIONS



PROBLEME
De plus en plus d'entreprises s'intéressent à la voile. Elle bénéficie d'une image saine et offre la possibilité de donner son nom à un bateau. De plus, c'est le sport qui à ce jour a le mieux su tirer parti des nouvelles technologies pour accroître sa médiatisation. Cependant, beaucoup d'entreprises hésitent à passer à l'action, doutant de leur capacité à gérer les deux enjeux fondamentaux de tout partenariat :
- garantir des retombées positives quelque soit le résultat sportif ;
- transformer les valeurs d'un sport en valeurs d'entreprise.

SOLUTION
Cette capacité, nous pouvons vous l'apporter. Plutôt que de vanter notre savoir-faire, nous préférons vous aider à évaluer l'intérêt que la voile peut représenter pour votre société en vous donnant quelques repères sur :
- les atouts de la voile en tant que sport et en tant que support,
- les règles d'or d'un partenariat efficace,
- les budgets de différents types de partenariat,
- les retombées et la manière de les évaluer.

DES VALEURS FORTES*
Les qualités humaines : sincérité, responsabilité, solidité, équilibre, courage, engagement
La technologie : nouveaux matériaux, carbone, technologie, calcul, pensée, compétence.
L'évasion, le rêve : évasion, voyage, fascination.
L'aventure : aventure, danger.
La nature : immensité, nature, écologie, temps.



UN SPONSORING EFFICACE
La restitution : une très bonne restitution des marques ; plusieurs entreprises identifiées comme sponsors de la voile ne le sont plus depuis plusieurs années.
La légitimité : fondée non pas sur un lien direct avec la mer, mais sur un investissement durable dans la discipline et sur la fidélité à celle-ci.
La notoriété : une notoriété des sponsors qui dépasse très largement le coeur de cible de la voile (personnes déclarant suivre la voile à travers les médias).

UN PUBLIC A FORT POUVOIR D'ACHAT*
Le sexe : sur 10 personnes s'intéressant à la voile, 7 sont des hommes.
L'âge : les 35-55 ans représentent 40% du coeur de cible de la voile.
Les revenus : les cadres supérieurs et professions intermédiaires représentent un tiers des personnes s'intéressant à la voile.

QUELQUES CHIFFRES
Pratiquants : 8 millions de Français
Supporters : 24 millions de Français
Audience du Tour Voile : 10 millions de Français
Notoriété de Fleury-Michon : + 38 points de 1982 à 1986
Temps d'antenne TV des événements en 2003 : 20h30
Retombées (équivalent publicitaire) des événements en 2003 : 2 M€

COMMENT BIEN INVESTIR

1) Définir les objectifs
du partenariat et les consigner par écrit : cible, effet recherché, niveau de performance.

2) Allouer un budget à l'exploitation
au moins 20% du budget global d'un partenariat avec une compétition, de 30 à 50% dans le cas d'un partenariat avec un équipage.

3) Nommer un responsable
ou constituer un comité de pilotage (selon l'importance du projet) chargé de l'interface entre le sportif / l'organisateur et l'entreprise, et de la coordination interne entre les services concernés par l'opération.

4) Informer le personnel
sur la nature de l'opération, ses objectifs, le bénéfice qu'il peut en retirer. Idéalement, le faire participer. Le personnel doit ressentir la légitimité de l'opération et se l' " approprier ", sous peine de démotivation.

5) Appuyer la promotion média
du partenaire sportif en mettant à contribution le service de presse de l'entreprise, de façon à obtenir la couverture média la plus large possible. Idéalement, tous les partenaires d'un projet doivent combiner leurs moyens.

6) Rechercher le contact direct
entre votre cible et le partenaire sportif de façon à associer votre entreprise à un événement " privé " - c'est-à-dire vécu - de la cible. Sur site : distribution d'échantillons, animation, invitations VIP ; dans l'entreprise : conférences, dédicaces, déjeuners avec le skipper / l'équipage.

7) Vérifier la cohérence
des actions menées avec les objectifs poursuivis : atteignez-vous votre cible, que pense-t-elle de votre démarche, cela modifie-t-il son attitude vis-à-vis de votre marque ?

8) Privilégier les partenariats de longue durée
qui autorisent des économies d'échelle, une meilleure mémorisation grâce à la répétition et un ajustement des actions en fonction des premiers résultats obtenus.

9) Ne pas négliger la complémentarité
de deux milieux - la voile et l'entreprise - qui ont une approche différente de problèmes identiques (travail d'équipe, motivation, poursuite d'objectifs, pression, gestion du risque…). Favoriser les transferts de compétence.

10) Mesurer l'efficacité
du partenariat, dans l'absolu (exposition générée, personnes exposées…) et relativement à vos objectifs. Faire un bilan écrit.

COMMENT ÉVALUER LES RETOMBÉES ?
La décision d'investir n'est que la première étape, à laquelle certains s'arrêtent, malheureusement. A quoi bon investir sans connaître le retour sur investissement ?
Beaucoup évaluent les retombées médiatiques en calculant l' "équivalent publicitaire" de l'exposition obtenue, se félicitant quand celui-ci est supérieur au montant de l'investissement. Une démarche justifiée pour le "support" (le skipper ou l'organisateur), mais pas pour l' "annonceur" (le sponsor) : l'efficacité d'une campagne de publicité est-elle seulement liée au budget de celle-ci ? Non, bien sûr.
La manière d'évaluer les retombées doit être prévue dès le départ et dépendra avant tout des objectifs du partenariat.
La notoriété : dans la plupart des cas, un calcul du "delta de notoriété" (différence entre la notoriété après et celle avant l'opération) est amplement suffisant.
L'image : une étude d'image effectuée après l'opération (et rapportée à celle qui à logiquement précédée l'opération) est souvent incontournable ; parfois, une simple enquête qualitative peut suffire.
La communication interne : un sondage avant / après est un minimum, sans négliger l'information qualitative qui peut remonter par la voie hiérarchique et les corrélations qui peuvent êtres faites avec les performances mesurables (productivité, absentéisme...).
Le chiffre d'affaire : l'impact le plus difficile à estimer ; une enquête de motivation auprès de la clientèle corrélée avec les indicateurs commerciaux (réalisations sur objectifs, etc.) peut être cependant instructive, quand l'opération vise directement la promotion des ventes.
Les relations publiques : leur amélioration s'évalue au cas par cas en fonction du public visé ; dans le cas des journalistes, les retombées médiatiques ont effectivement une signification particulière....
La preuve produit :outre le relevé des défaillances éventuelles et de leur publicité, une étude d'image ou une enquête de motivation peuvent s'avérer utiles.




COMPARAISON

A TITRE DE COMPARAISON
QUEL PARTENARIAT POUR QUEL BUDGET ?

8 K€ Participation au Spi Ouest France, à la Course Croisière de l'Edhec

15 K€ Partenaire associé d'une régate

45 K€ Partenaire exclusif du suivi d'une régate en direct sur internet

60 K€ Partenaire exclusif du Tour de Corse en Double

Organisation d'une course corporative
Organisation d'une opération de relations publiques avec des skippers de renommée
90 K€ Participation au Tour de France à la Voile, à la Solitaire du Figaro (budget minimum)

Participation à une saison nationale complète de régate
Organisation d'une régate nationale
105 K€ Partenaire exclusif de la Pro-Am Cup

Partenaire du Championnat de France de Course au Large
150 K€ Partenaire exclusif de la One Ton Cup

Participation au circuit Figaro (Grands Prix, Solitaire), au Tour de France à la Voile
Organisation d'une régate internationale)
900 K€ Participation au Vendée Globe Challenge, à la Route du Rhum (budget minimum)

Participation à l'Admiral's Cup (budget minimum)
Organisation d'une course transatlantique
1,2 M€ Participation au Vendée Globe Challenge, à la Route du Rhum (budget moyen)

Organisation d'une course au large par étapes, d'un tour du monde sans escale
1,5 M€Participation à l'Admiral's Cup (budget moyen)

Tentative de record autour du monde (Trophée Jules Verne)
3 M€ Organisation d'un circuit mondial professionnel, d'un tour du monde avec escales

5 M€ Participation à la Volvo Ocean Race (budget minimum)
10 M€ Participation à la Volvo Ocean Race (budget moyen)

le projet fournit par nos amis anglais

T H E C O N C E P T

The creation of this Open 40 design has been driven by a number of clients who have expressed interest in offshore/ocean racing but do not have either the time, budget or inclination to involve themselves in the 50/60 circuit, now almost wholly the preserve of professional skippers and corporate budgets.

Accordingly, Owen Clarke Design have been working to produce the next generation Open 40 design which will deliver all the thrills and spills of Open class racing but without excessive outlay. Conceptually, the Open 40 occupies the middle ground of the Open class spectrum - the Mini Transats and the 60s representing the extremes both in terms of cost and the commitment required to extract the best from them.

This Open 40 is no less extreme in terms of the performance profile but, in line with current thinking on all our Open boats, we are striving to produce a more all-round and balanced profile that is as potent upwind as it is down. This is achieved by a careful blend of technologies and the on-going development of proven solutions from our current Grand Prix boats. The resulting synthesis is a single/short-handed ocean racer that delivers security, pace and value.

T H E R A C I N G C A L E N D A R

In addition to national events such as the Bermuda 1-2, the following international events will have classes for 40’s


2006

January Cape Town to Rio
Fully crewed (every 3 years).

June Round Britain and Ireland Race
Double-handed.

September Around Alone
Single-handed.

November Route du Rhum
Single-handed.

2007

March Osaka Cup (Melbourne - Osaka)
Double-handed (every 4 years).

June AZAB
Double-handed (every 4 years).

November Transat Jacques Vabres
Double-handed, France to Brazil (alternate years).

T H E D E S I G N

By the very nature of this design some owners will wish to customise their craft and to this end we have drawn a generic boat with three basic options showing wheel and tiller steering as well as an optional cuddy/coachroof extension. There is scope for further personalisation, particularly with regard to the deck layout and interior arrangement.

P R I N C I P A L D I M E N S I O N S

Hull

LOA: 12.192 m
Length at waterline: 1.650 m
Max. Beam: 4.380 m
Draught: 3.600 m
Displacement (lightship) 3780 kg
Ballast: 1200 kg


C O N S T R U C T I O N

The structure will utilise both unidirectional and biaxial carbon fibre in ’wet preg’ form around a PVC foam core. By careful variation of skin material weight and appropriate core density we can deliver what we believe to be the most cost-effective structural solution without compromising safety and stiffness and yet retain the performance profile that is our trademark.

Hull penetrations at the keel and daggerboard are to be executed in solid laminate to ensure structural integrity under extreme conditions.

Canting Keel

The high tensile steel keel fin with lead bulb is driven by twin hydraulic rams to give precise and secure control over the angle of the fin.


Daggerboard

A single carbon daggerboard within its own case is positioned in front of the mast. Running through all around bearings, the board tacks automatically. The daggerboard is lifted by a manual pulley system via a deck-mounted lifting pillar.

Preliminary Drawings

Enclosed are preliminary drawings including:


1. General arrangement

2. Deck plan with cuddy and till steering

3. Deck plan with wheel steering option and short cuddy

4. Sail plan

S T E E R I N G S Y S T E M

Single tiller or wheel via lightweight quadrant with Vectran linkage.

Compasses set into deck only.

Auto Pilot

Provision to be made to accommodate a double pilot ram below deck.

Water Ballast

Two sea water trim tanks of approx 500 litres each are located under the cockpit sole aft of the companionway bulkhead. Fill/empty via a pair of custom 3” scoop/venturi valves. Valve operation is manual at valve.

I N T E R I O R

General

The interior arrangement consists of a central navigation station located forward and above the engine housing. Port & starboard are pipe cots. At the aft end of the engine enclosure there is a simple galley consisting of a single gas burner with integral supply, and a sink with foot-operated pumps for fresh and sea water.

Aft of the companionway bulkhead there are 2 further pipe cots to port and starboard.

Hatches

Internally the hull is divided into 5 watertight compartments affording maximum security and survivability both for the structure and the crew.

D E C K E Q U I P M E N T & F I T T I N G S

General

Halyards and lines running from the mast base will run in a channel in the coachroof top, exiting onto the side deck from where they will be led aft. A similar, but smaller, channel will carry the daggerboard control line aft to the mast base. All channels
have moulded cover plates with winch handle tightened hold-downs. There will be a forward deck hatch for access to the forward sail locker.
Winches

Harken winches: 1 x Halyard B40.2 STR (fitted on port side of mast)
6 x Primary B48.2 STR
Handles: Speed grip B10ASG

Hatches and Port Lights

1 custom flush hatch for foredeck.
2 Port lights in coach roof.

Deck Hardware

Deck hardware is to be Harken, Frederiksen, Lewmar or equivalent.
Jammers and rope clutches are to be Spinlock.

Deck Surface

Working deck painted non-slip.

Miscellaneous

Titanium pulpit, pushpit and stanchions. Stanchions to locate into composite sockets, 5 per side.

Lifeline wires - 1 by 19 wire –5mm.

Kevlar mooring chafe strips at the bow, amidships and stern.

All stainless steel will be Stainless Steel 316L. All aluminium will be marine grade aluminium, AL 5083, or AL 6061 and marine hard anodised

Jackstays – webbing.

M A S T A N D R I G

Mast

Carbon - tapered, deck stepped.
Spreaders and tangs.
Composite mast step.

Rig

P - 17.939 m
E - 6.457 m
I - 18.654 m
J - 5.044 m

Mast equipment

2 x pair spreaders, 20° sweepback.
The mast finish will be painted.
Mast top with sockets for mast top unit, Windex, Top light, VHF-Antenna, etc.

Masthead with sheave for Gennaker and main halyards. Jammer for Gennaker halyard on mast.

1 x Genoa halyard
1 x Solent halyard
1 x Storm Jib halyard
1x Main halyard.

Fittings and Conduit for wiring
Navigation lights
Foredeck floodlight
1x Radar reflector
Electronics cables and antenna.

Boom

Carbon fibre boom section into gooseneck at mast base.

Standing Rigging

Rod-Rigging in Nitronic 50, Navtec or Riggana.
Running backstays and forestays in PBO.

Running Rigging

All ropes Vectran, or equivalent.

Furler

Manual headsail furler will be endless line type attached to composite forestay.

Bow Pole

There will be a pivoting carbon fibre bow pole located on the stem.
Permanently mounted on a stem-head bearing with control quadrant set into deck rebate. Control lines led aft. Bobstay to chainplate fitting in front of stem.



S A I L S

1 x Main 82.00 sq m
1 x Genoa 40.40 sq m
1 x Staysail 26.20 sq m
1 x Storm Jib 9.00 sq m
1 x Code 0 85.00 sq m
1 x Code 5 120.00 sq m
1 x AP Spinnaker 170.00 sq m




Build Options

An extensive tender process encompassing boat yards, spar-makers, sail lofts & electronics suppliers in the US, Canada, Australia, New Zealand and the UK has delivered some interesting results.

By far and away the most cost effective option is an Australia build. The current high value of sterling and apparent weakness of the Australian Dollar make this an extremely attractive option for European and North American buyers.

Research indicates that a complete boat is available for around AU$720 000. This is approximately half the cost of an Open 50 to a similar specification. The price would include sails, electronics package, sea trials and shipping cradle on the dockside in Melbourne ready for export. The stock design and a project management package is included in this cost

Former BOC skipper Alan Nebauer, who is currently managing Kip Stone’s Owen Clarke designed Open 50 build at McConaghy Yachts, Sydney will be providing the project management services. For a UK or European build, project management services will be supplied by the UK office.

A preliminary timetable from the builder indicates that the build process will take approximately 7 months from point of order.

For owners who wish to have a boat constructed in another location we can undertake further tender enquiries, and also assist those individuals who may not wish to have a complete yard build.

There are undoubtedly opportunities for potential owners to make cost savings by cooperating in a series build programme, sharing tooling costs and through discounts from increased buying power on items such as hardware, electronics and sails. Initial expressions of interest should therefore indicate whether owners would be prepared to be involved in such a scheme.


T H E D E S I G N T E A M

Merfyn Owen, MRINA CEng Merfyn is a chartered engineer, a member of the Royal Institute of Naval Architects and a graduate of University College, London. He spent four years as an officer in the merchant navy including service during the Falklands campaign. He has a number of significant races in both multihulls and monohulls to his credit, including skippering Global Teamwork in the 1996/97 BT Global Challenge round the world race. Merfyn also has considerable build and project management experience including managing yachts in two Around Alone campaigns (formerly the BOC) and one Vendee Globe event. Allied with over 100,000 miles and two Cape Horn passages behind him, Merfyn’s input in the design office is very much ‘hands on’ as well as having a strong engineering and technology bias.
Allen Clarke, Allen trained at Falmouth Boat Building College and Southampton Institute, studying boat building and yacht design respectively. A boat owner and keen cruising sailor for many years, with a number of long passages and transatlantic crossings behind him, he has also competed in a number of significant races including the AZAB. Allen pursued a successful career as an interior designer before returning to yacht design and surveying and brings his considerable flair and talent to play in his work with a strong feel for the aesthetics in any project as well as the practical considerations involved.
Following the success of the Kingfisher project six members of staff have been taken on at Owen Clarke Design to help take their ideas and expertise forward on a number of major projects. Matt Wood, with a degree in Sail and Power Boat Design and many years’ boat building experience, is responsible for current Mini Transat designs, the development of the Open 40 design, and has a particular role in yard liaison, preserving the integrity of designs as they are built. Matt is based in the UK’s West Country office. Tim Sadler, a qualified engineer with 14 years’ engineering design experience heads up our Auckland office. Previously with Marten Yachts, Tim was the chief systems’ engineer for the superyacht Mari Cha. Also based in Auckland, Liz Tier is a qualified Naval Architect with a Masters degree in Ship Science and a keen cruising sailor. She has been responsible for the 3D design and modelling of the 20m ‘Supercruiser’ currently in build there. A Frenchman based near Marseilles, Nadj Geslain has a degree in Engineering and a Masters in Ship Science from Southampton Institute. An experienced racing yachtsman, Nadj has completed four Tours et Voiles campaigns – probably the toughest regatta in the world. His responsibilities cover tank testing and the development of our in-house velocity prediction programme (vpp).

Office: Lower Ridge Barns, PO Box 26,
Dartmouth, Devon, TQ6 0YG, United Kingdom
Tel: +44 1803 770495 Fax: +44 1803 770517
www.owenclarkedesign.com
E-mail: info@owenclarkedesign.com

Registered Office: 20-22 Bedford Row, London, WC1R 4JS, UK
Registered at Companies House as
Limited Liability Partnership OC301507

Prix Owen Clarke


Design fees schedule for stock and ammended stock designs


Design fee #1 11163 Design fee Variable depending on options taken


Class 40 stock design Boat #1 Class 40 stock design with ammendments

On signing of contract 4465 Concept design 2348
On delivery of hull lines 2233 On signing of contract 40% of (total fee - £2348)
On delivery of hull and deck structure 2233 On delivery of hull lines 20% of ( total fee - £ 2348)
On receipt of final drawings 1116 On delivery of hull and deck structure 20% of ( total fee - £ 2348)
On completion of builders trials 1116 On receipt of final drawings 10% of ( total fee - £ 2348)
On completion of builders trials 10% of ( total fee - £ 2348)
Total 11163
Note: The purpose of the concept design stage is for those clients that wish to ammend the stock design or have a sustom designed produced to be able to approach a builder for costing purposes without commiting themselves to a design at this stage.

Syndicate series licence fees Boat #2 to #4

Prior to build commencement 3978
On completion of trials 1326

Total 5304



Note: All prices quoted in £ sterling and exclude VAT if applicable

environ un milliard d'euros

La vogue du sponsoring
Les entreprises versent environ un milliard d'euros par an au monde du sport.(16/11/2005)


Malgré l'échec de Paris dans la course à l'organisation des JO de 2012, le sport en tant que vecteur de communication suscite un fort intérêt chez les sociétés françaises, selon une étude réalisée par Havas Sports et l'Observatoire de la chaire européenne de marketing sportif de l'Essec. L'enquête recense quelque 5 000 annonceurs-partenaires sur tout le territoire mais le tiers des investissements est réalisé par une toute petite minorité d'entreprises (2%). Il s'agit souvent de firmes spécialisées dans les télécoms, à l'image d'Orange, considéré comme le plus grand "consommateur" de sport national avec 23 millions injectés en 2004/2005 dans la Ligue 1 (football), le Top 14 (rugby) et son Orange Team Sailing (voile). Le secteur bancaire est bien représenté aussi avec des enseignes comme BNP Paribas et la Société générale qui étendent leur positionnement dans le tennis pour la première et le rugby pour la seconde.
Le sport auto en pôle
Au palmarès des disciplines les plus prisées, on retrouve à la première place le sport automobile, qui draine 280 millions d'euros, talonné par le football (260 millions). Le sport roi prend sa revanche en écrasant la concurrence dans le domaine des droits télés. Bien qu'en plein essor, à l'approche de la Coupe du monde, le rugby pointe loin derrière (100 millions). Quant à la voile, elle capte tout de même 80 millions sur le marché du parrainage.

Le sport monte en puissance
En France, le marché de ce secteur dépasse celui du disque ou du cinéma hors production. Le chiffre d'affaires du sport en 2005 représente près de 29 milliards d'euros dans l'Hexagone, selon une étude d'Havas Sports et de l'Essec (Ecole supérieure des sciences économiques et commerciales) rendue publique hier. Le secteur amateur et celui du loisir se taillent la part du lion en concentrant à eux seuls 90% du montant des ventes, soit 25,7 milliards, contre 3,3 milliards pour le sport business.(16/11/2005)


Le chiffre d'affaires du sport en 2005 représente près de 29 milliards d'euros dans l'Hexagone, selon une étude d'Havas Sports et de l'Essec (Ecole supérieure des sciences économiques et commerciales) rendue publique hier. Le secteur amateur et celui du loisir se taillent la part du lion en concentrant à eux seuls 90% du montant des ventes, soit 25,7 milliards, contre 3,3 milliards pour le sport business.
D'ici à 2015, le poids du marché du sport devrait encore considérablement augmenter. Les experts tablent en effet sur une croissance annuelle estimée à 3% hors inflation.
L'embellie devrait profiter en premier lieu au rugby qui bénéficie actuellement d'un engouement sans précédent. Malgré une pratique qui reste cantonnée aux régions du Sud-Ouest, fait remarquer l'étude, le jeu à XV voit ses audiences télé exploser. La nouvelle formule du Championnat de France, le Top 14, et la proximité de la Coupe du monde en France n'y sont pas étrangères. L'enquête identifie d'autres sports en forte progression comme le surf et les disciplines de glisse.
Les femmes, un nouveau marché
Avec le marché des seniors, les femmes "sont l'avenir du sport" n'hésite pas à pronostiquer Lucien Boyer, le patron d'Havas Sports. Elles sont 48% à pratiquer une activité, majoritairement dans des sports "santé, nature et fitness". metro