mardi 20 décembre 2005

NOUVEAUTES

Un nouveau plan Lombard de série, un Berret-Racoupeau dans les cartons, après les Pogo-40 (plan Groupe Finot) et autre Jumbo-40 (plan Rolland), la Classe 40 s´étoffe avec un programme en construction qui comprend la Dinartica ou les Skippers d´Islande et surtout la Route du Rhum où une douzaine de solitaires pourraient être présents.
Pour l'atao ci-dessus :
MC TECHCroisement El Kedoua 08045
el Haouariatel : 00 216 72 206 058
mc-tec@gonser-groupe.com

UN RECORD A BATTRE

Open 40 : Nouveau record du tour de l'angleterre en 11j 12h 26m 12s pour Michel Kleinjans
le mardi 8 juin à 19h 31m 48s (heure locale) le navigateur en solitaire Belge Michel Kleinjans à bord de son Open 40 'Roaring Forty' a passé la ligne d'arrivée à Ramsgate après un tour de l'Angleterre dans un nouveau temps record. Désormais le nouveau temps record est de 11j 12h 26m 12s. Le record précédent avait été réalisé en 2000 par l'Anglais Peter Keig en 18j 13h et 59m. Michel Kleinjans a donc pulvérisé le record existant avec plus de 7 jours. C'est la toute première fois qu'un Belge rentre dans les listes des grands records de la voile en solitaire. Rappelons que le record en équipage vient d'être amélioré récemment par le Français J.P. Chaumette et son Open 60 'Solune' en 7 jours 4 heures et des poussières. Le parcours théorique du record autour de l'Angleterre est de 1787 milles nautiques. Le bateau 'Roaring Forty' est un Open 40 dessiné par le cabinet Lutra Design Group datant de 1997. Info Bert Janssen / Half Ton Class Europe

LES PILES A COMBUSTIBLES


Depuis la fin de la mini-transat, quel superbe laboratoire entre parenthèse, on ne le dira jamais assez, l'on sait que les piles a combustible ça marche, enfin plus ou moins bien, et ca reste quand même cher. Mais au fait, c'est quoi une pile à combustible?



Une pile à combustible est une pile où la fabrication de l'électricité se fait grâce à l'oxydation sur une électrode d'un combustible réducteur (par exemple l'hydrogène) couplée à la réduction sur l'autre électrode d'un oxydant, tel que l'oxygène de l'air. La réaction d'oxydation de l'hydrogène est accélérée par un catalyseur qui est généralement du platine.

Pile à combustible à l'hydrogène

Le fonctionnement d'une telle pile est particulièrement propre puisqu'il ne produit que de l'eau et consomme uniquement des gaz. Mais de telles piles sont aujourd'hui hors de prix (2005), notamment à cause des quantités non négligeables de platine qu'elles nécessitent.

Une des difficultés majeure réside dans la synthèse et l'approvisionnement en dihydrogène. L'hydrogène n'existe en grandes quantités dans la nature que combiné à l'oxygène (H2O), au soufre (H2S) et au carbone (combustibles fossiles de types gaz ou pétroles). La production de dihydrogène nécessite donc soit de consommer des combustibles fossiles, soit de disposer d'énormes quantités d'énergie à faible coût, pour l'obtenir à partir de la décomposition de l'eau, par voie thermique ou électrochimique. Ensuite le dihydrogène peut être comprimé dans des bouteilles à gaz (pression en général de 350 ou 700 bar), ou liquéfié ou combiné chimiquement sous forme de méthanol ou de méthane qui seront ensuite transformés pour libérer du dihydrogène. Les rendements énergétiques cumulés des synthèses du dihydrogène, de compression ou liquéfaction, sont généralement très décevants. L'hydrogène n'est donc pas une source d'énergie primaire, c'est un simple vecteur d'énergie difficile à produire et à stocker.
Le principe de fonctionnement

La pile à combustible fonctionne à l'inverse de l'électrolyse de l'eau. Elle transforme l'énergie chimique en énergie électrique. C'est un générateur.

* Elle ressemble à une pile ordinaire. Elle possède une cathode et une anode séparées par un électrolyte qui assure entre autres le passage du courant par transfert ionique des charges.
* Comme une pile classique, elle consomme son oxydant (ici l'oxygène O2) et son réducteur (ici l'hydrogène H2). Elle continue de fonctionner tant qu'elle est approvisionnée en hydrogène et oxygène. Le réducteur peut être du méthanol ou du gaz naturel.



Pile à combustible au méthanol

Dans les piles au méthanol (DMFC:Direct Methanol Fuel Cell), contrairement aux piles à hydrogène alimentées suite au reformage préalable de gaz naturel, le méthanol est directement oxydé dans le stack et ne nécessite pas d'être reformé.


Applications et perspectives


Grace aux progrès incessants de cette technologie, dont les premiers développements dans le domaine spatial remontent aux années 1960, et à la baisse des prix, on commence à entrevoir son utilisation dans de nouveaux domaines, pour alimenter des prototypes d'ordinateurs portables, et plus intéressant de véhicules propres. Cependant la viabilité industrielle à grande échelle de tels systèmes se heurte, de plein fouet, au faible rendement énergétique global de l'ensemble des opérations qui n'excède pas les 10%. En effet chaque étape (synthèse de l'hydrogène, séchage du gaz, stockage, vaporisation, rendement des réactions électrochimiques de la pile, circulation des fluides, régulation thermique, maintenance, récupération du platine, etc.) écorne un rendement global à la fin très décevant qui suppose donc la disponibilité d'une source d'énergie primaire économique et inépuisable à l'échelle humaine. Le soleil et son dérivé la fusion nucléaire offrent des perspectives pour répondre à ce cahier des charges. D'autres voies de stockage et de transport de l'hydrogène peuvent aussi être envisagées pour réduire les pertes, comme par exemple le conditionnement solide et stable de l'hydrogène sous forme de pastilles aminées.

L'utilisation de la pile à combustible en cogénération, permettant de valoriser la production thermique de la pile, est considérée d'un point de vue environnemental et technique comme avantageuse mais demeure encore chère.


Types de pile à combustible

Polymer Electrolyte Membrane Fuel Cell (PEMFC)
Avantage: Démarage rapide, modularité, insensibles au CO2, faible température de fonctionnement, souplesse de fonctionnement, bonne gestion thermique, large spectre de puissance.
Inconvéniant: Nécessite une haute purité du carburant H2, contamination de la membrane par le CO et le S, utilisation de platine à coût élevé.
Applications: Transport, source d’énergie stationnaire et portable.


Direct Methanol Fuel Cells*(DMFC)
(*Au sans large il faut inclure les piles à combutible qui son alimenté directement par n’importe que alcool)
Avantage par rapport au pile conventionel: Plus grand densité d’énergie, indépendance du reseau éléctrique, instantanement rechargable.
Avantage par rapport au autre pile a combustible: Combustible liquid ne necessite pas de reformatage, fonctionnement a temperature ambiante, démarrer rapidement, bonne réponse au changement de puissance.
Inconvéniant: Les effluents de la pile contenant du CO2, rendement faible de l'ordre de 20%.
Applications: Source d’énergie primaire ou d’énergie rechargable pour GSM, ordinateur portable, camera, lecteur de MP3, etc.


Molten Carbonate Fuel Cells (MCFC)
Avantages: Haute efficacité, utilisé le gaz naturel comme combustible, gaz d’échapement chaud utile pour la co-generation.
Inconvéniant: Démarage lente.
Applications: Generateur fix d’électricité pour hotels, hopitaux, co-generation.


Solid Oxide Fuel Cells (SOFC)
Avantages: Plus efficace que le PEM, utilisé le gaz naturel comme combustible, gaz d’échapement chaud utile pour la co-generation.
Inconvéniant: Démarage lente.
Applications: Co-generation


Phosphoric Acid Fuel Cells (PAFC)
Avantages: Commercialement disponible.
Inconvéniant: Moin efficace que MCFC et SOFC, nécessite un reformage externe.
Applications: Application de nature fix.


Alkaline Fuel Cells (AFC)
Avantages: Electrolyte et catalyseur bon marché, démarage rapide, fonctionne à base temperature.
Inconvéniant: sensible au CO2.
Applications: Transport, portable, aerospacial (utilisé dans toute les navette spacial Americain)


Regenerative Fuel Cells
Avantages: Un même composant peu fonctionner comme pile a combustible et electrolyseur.
Inconvéniant: Pas encore disponible sous une forme commercialement exploitable.
Applications: System basé sur des sources d’énergie renouvelable, disponible de facon intermitante.


Low Operating Temperature (LOT) Fuel Cell
Avantages: Le materiel utilisé dans la production de la membrane est seulement une fraction du Nafion utlissé dans les autres piles a combustible tout en conservant le potentiel d’ameillorer l’efficacité de la pile à combustible.
Inconvéniant: Encore au stade de développement.


Hydrogen Membrane Fuel Cell (HMFC)
Avantages: Peu utiliser de l'hydrogène à 500°C. Ne nécessite pas le refroidissement de l'hydrogène. N'utilise pas de Platine (Pt). Performance supèrieur de 20% par rapport au PEMFC a une température de 510°C.
Inconvéniant: Recherche nécessaire pour limiter la quantité de Palladium (Pd) necéssaire.


Active Transport Membrane (ATM) Enzymatic Fuel Cell Battery
Avantages: L’ATM pompe de facon dynamique des protons à travel la membrane plutôt que de compter sur des processus passif comme les autres pile à combustible.
Inconvéniant: Encore au stade de développement.


Metal-Air "Fuel Cells"
Avantages: Pretant à une efficacité excellente.
Inconvéniant: Il s’agit toujours de pile conventionelle même si on retrouve des élement propre au pile à combustible.



NOUVEAUTE PEN DUICK

Transat Lorient - Les Bermudes - Lorient : Le revival en mai 2007 pour les voiliers de 40 à 60 pieds Open
En mai 2007, la Transat Lorient - les Bermudes - Lorient repartira grâce à Cap l'Orient et Pen Duick. Et cette fois encore avec le parrainage du newsmagazine Le Point. La première course océanique en double créée en 1979 par Le Point et Europe 1, qui avait vu un final époustouflant entre Eugène Riguidel/Gilles Gahinet sur VSD et Eric Tabarly/Marc Pajot sur Paul Ricard, sera ouverte comme à l'origine, à tous les voiliers de 40 à 60 pieds Open, mené par un équipage réduit. Avec cette nouvelle course, Pen Duick souhaite s'inscrire dans la tradition de ce qui a fait la course océanique : l'esprit de liberté et d'aventure. En 1979, la Transat en double Lorient - les Bermudes - Lorient avait connu, un an après la première Route du Rhum, un énorme succès populaire et médiatique. La course océanique entrait, grâce entre autres à Eric Tabarly, Mike Birch, Marc Pajot, Philippe Poupon, dans le carré restreint des exploits sportifs très populaires. Deux décennies de courses ont suivi. Lorient a été, pendant toutes ces années, au c?ur de cette aventure. Acteur fort de cette dynamique, Cap l'Orient a contribué à l'essor d'une nouvelle activité économique. Aujourd'hui, le milieu a évolué, l'aventure a changé de nature. De nouvelles grandes courses ont été créées, de nouveaux ports ont pris leur place dans ce panorama maritime. Pen Duick, qui organise depuis plus de 20 ans une partie de ces courses, est placée au centre de cette activité. Elle a accompagné et contribué à l'évolution normale et la mutation de ce sport en organisant la Course de l'Europe, plusieurs transats au départ de Lorient, le Challenge Mondial Assistance, la Transat Jacques Vabre, etc. Alors que la tendance générale va plutôt, dans les courses actuelles, vers la restriction à une seule classe de bateaux, l'idée est de relancer la notion de course open, c'est-à-dire ouverte au maximum de classes de bateaux océaniques. Dans le calendrier international des grandes courses océaniques, la Transat Lorient - les Bermudes - Lorient se disputera tous les deux ans et pour la première fois en mai 2007. Retour vers les Bermudes donc pour une course toujours en équipage, toujours Open, ouverte aux monocoques de 40, 50 et 60 pieds et aux multicoques de 50 et 60 pieds. Toujours sans escale mais avec la possibilité d'un arrêt technique aux Bermudes, soit 5 780 milles. Toujours au printemps (mai-juin), soit une période « météorologiquement » parlant assez imprévisible à cause de l'anticyclone des Açores qui a tendance à monter sur l'Europe. Bref, tous les ingrédients qui ont fait le succès de la Transat Lorient - Les Bermudes - Lorient, seront au rendez-vous. De quoi proposer de nouveaux défis, des batailles inédites aux monocoques IMOCA et aux multicoques ORMA, mais aussi mettre sur le devant de la scène, les nouveaux 50 pieds multicoques et monocoques, ainsi que la Class 40, cette toute jeune série en pleine expansion.
Info Pen Duick SA

vendredi 16 décembre 2005

A TERME

PROJET ÉDUCATIF

Vie-Project est aussi une association loi 1901 d'accueil social dont le but est la réinsertion de jeunes en difficultés sociales par l'apprentissage de la course au large et des métiers qui y sont liés, mais également par le voyage, la découverte et l'aventure.

En ce qui concerne l'action sur la course au large proprement dite, voir les sujets ci-après développés.

Cadre d'action de l'association
Partager des moments de vie avec des groupes humains de langues, de couleurs et de religions différentes constitue une excellente occasion pour développer l'ouverture d'esprit et les facultés d'adaptation.

L'équipe
L'encadrement sera assuré par une équipe pluridisciplinaire composée de navigateurs et de professionnels de l'éducation et de l'animation, avec la présence de plusieurs adultes en permanence sur le bateau par un système de roulement. Un bureau de coordination à terre assure la liaison entre le bateau et les structures sociales qui nous confient les jeunes.

L'enfance dans le monde
Vivre le voyage, c'est aussi rencontrer et côtoyer des populations de cultures très diverses. Des enfants voyagent et rencontrent d'autres enfants (riches, pauvres, citadins ou campagnards). Ils fraternisent et sont amenés à partager des moments de vie. Chercher à comprendre leur manière de vivre, la structure sociale et les moyens d'existence de ces différentes communautés exerce la curiosité intellectuelle et fournit de nombreux éléments de comparaison et de réflexion personnelle pour les jeunes en quête d'identité (par exemple, en Haïti, une semaine dans une famille haïtienne, ainsi que l'aide quotidienne apportée à un orphelinat, au Cap Vert, etc.). Les voyageurs tenteront de transcrire la richesse de ces rencontres et de donner une idée du quotidien de ces enfants sous forme de productions et de créations personnelles et collectives.

Le voyage, une prévention contre l'échec
Par le biais de projets forts à réaliser, nous proposons aux jeunes des périodes de rupture radicale avec leur mode de vie habituel (jusqu'à dix mois). Cette rupture peut paraître aisée. Pourtant, la conception d'un projet et sa réalisation demandent un investissement personnel important. Quant au voyage lui-même, il comporte de nombreuses difficultés à surmonter, beaucoup d'apprentissages obligatoires et pas mal de contraintes. De même, il offre un éventail de situations favorables à l'expression et à l'action valorisante permettant souvent aux enfants de se découvrir et d'exploiter des capacités personnelles que leur cadre de vie habituel ne leur laissait guère imaginer.

L'éloignement avec la famille et le milieu d'origine
La distance, le fait de vivre une aventure forte peuvent amener le jeune à prendre du recul. Hors de son cadre de vie habituel, il n'a pas besoin de coller à l'image négative dont il est souvent prisonnier (dans le cas d'un enfant en échec scolaire ou qui connaît des problèmes familiaux). Pour tous les enfants du groupe, cette situation particulière offre souvent l'occasion d'amorcer une réflexion personnelle constructive. Les adultes sont là pour les écouter et favoriser ce travail de maturation.

L'adaptation à un mode de vie totalement nouveau
La quasi-totalité des jeunes qui nous est présentée ignore complètement ce qu'implique la réalisation d'un projet collectif. Ils n'ont aucune notion de la vie d'une équipe en voyage, ils sont guidés par leurs rêves et des références médiatiques. Le premier choc est souvent de découvrir qu'avant de pouvoir vivre des aventures " comme à la télé ", il faut apprendre à laver son linge, faire la vaisselle et cuisiner des repas corrects. C'est pourtant autour de ces activités élémentaires mais incontournables que la dynamique du groupe se construit et qu'un projet peut être mené à son terme d'une manière satisfaisante.

La vie du groupe
Elle s'articule autour de trois points forts : le respect des autres, l'autonomie personnelle et la prise de responsabilité. Ces trois notions ne peuvent se développer qu'au sein d'un groupe chaleureux, actif et structuré. Dans ce cadre elles prennent tout leur sens et se renforcent au travers du bon déroulement des activités sportives et créatives du voyage (navigation, plongée, randonnées, reportages). Pour le reste, les règles de vie du groupe sont proposées, débattues et approuvées par le collectif tout entier, de manière à susciter investissement et intérêt de la part des jeunes pour la qualité des relations humaines, ainsi qu'une réelle participation aux tâches du quotidien.

La mer, les cétacés
Les enseignements qu'offre la mer, élément avec lequel les enfants sont en contact permanent, sont très riches et divers. La confrontation avec cet élément naturel puissant est restructurante, les jeunes retrouvent des repères essentiels. Pour ces expéditions maritimes, les cétacés constituent un formidable fil conducteur. Dès les premières rencontres, les enfants sont sous le charme de ces êtres attachants. La recherche de leurs lieux de regroupement et l'observation de leur mode de vie entretiennent une solide motivation, sont une source inépuisable d'émotions et permettent une approche privilégiée de la nature.

Les apprentissages
Cette initiative, loin de vouloir se substituer à l'école publique, dont nous reconnaissons le rôle essentiel, se veut complémentaire et vise à développer chez les jeunes participants, par le biais du contact direct et de la découverte :
• La curiosité, qui constitue la base de tout désir de perfectionnement
• L'acquisition, par la pratique, de démarches d'apprentissage (apprendre à apprendre)
• Le plaisir d'apprendre
• La satisfaction que procure la réalisation d'une aventure collective valorisante.
Dans cet esprit, nous ne tentons pas d'imposer un programme scolaire qui serait inadapté aux conditions de vie des expéditions, mais nous nous efforçons de rendre les périodes de voyage aussi riches en ce domaine, sinon plus, qu'une année passée à l'école. Pour ce faire, nous nous appuyons sur le quotidien du voyage qui fournit de nombreuses occasions d'apprentissages d'autant plus marquants qu'ils sont issus de situations concrètes et immédiatement applicables à l'action en cours.
Par le biais de contrats écrits, le jeune engage également sa parole sur la réalisation d'une activité ou la correction d'un mauvais comportement. Ce dispositif doit lui permettre de faire le point sur sa propre évolution et sa capacité à respecter son contrat évalué et renouvelé dans son contenu de semaine en semaine.
La motivation et l'investissement personnel qu'exige la réalisation d'un voyage en font un excellent outil pédagogique. Son efficacité sera renforcée s'il s'effectue sur le mode d'une expédition à thème avec la motivation de réaliser une série de productions personnelles et collectives (journaux personnels, reportages vidéo, photo, édition d'articles). Dans cet esprit, une initiation aux techniques de reportage est offerte aux jeunes avec un accent mis sur l'écriture : tenue d'un journal personnel, élaboration d'une publication bimensuelle adressée aux parents, abonnés associatifs, écoles et foyers d'origine des enfants. Un autre point important est la correspondance avec les proches et la famille qui constitue souvent une découverte totale pour l'enfant.
De plus, dans l'action, chaque participant est sollicité pour de multiples initiations : navigation pratique et théorique (Maths niveau 4ème, dans le cas des projets marins), lecture de cartes terrestres et maritimes, langues des pays visités… Certaines des activités proposées demandent la maîtrise de techniques et le maniement d'un matériel spécialisé qui exige un entretien constant. Chaque secteur d'activité est sous la responsabilité d'un ou deux jeunes, initiés et encadrés par un adulte (réalisation du carnet de bord, mais aussi entretien des moteurs, des voiles, etc.).

Chaque contribution à l'avancée du projet amène obligatoirement le jeune à assumer des responsabilités qui participent au renforcement de sa personnalité. Ce n'est pas rien, par exemple, d'assumer durant les deux heures d'un quart de nuit la bonne marche du voilier et la sécurité de ses camarades. Dans un autre domaine, la gestion collective du budget de l'expédition, la prise en charge par les enfants des dépenses quotidiennes (approvisionnement, carburants…) amène une prise de conscience quant à la valeur de l'argent et son utilisation.

Le recrutement
Les expéditions dureront entre 4 et 10 mois suivant le projet ; l'équipage sera composé de 8 enfants âgés de 10 à 16 ans présentant des difficultés sociales et/ou familiales et/ou scolaires.

Toutefois, Vie-Project étant aussi une structure à but préventif, nous souhaitons accueillir des enfants motivés et désireux de vivre une expérience originale leur permettant de rompre avec une situation d'échec. Ces enfants seront évalués et sélectionnés au cours de rencontres individuelles et de stages collectifs effectués avec l'équipe d'adultes en milieu extérieur (randonnées, débroussaillages, nettoyage de rivières, etc.).

La participation et l'implication dynamique de l'enfant au voyage procureront une occasion unique pour un autre départ.


jeudi 15 décembre 2005

Sites sympas découverts récemment

http://bateaux-alain.chez-alice.fr/ageneral.html
pour les fans de modélisme naval et de sous-marins

http://bateauxenbouteilles.over-blog.com/
très bon blog pour les longues soirées

http://ulmo.over-blog.net/
maquettes et navigations

http://bateauxbois.over-blog.com/
le blog d'un charpentier de marine

http://www.lexilogos.com/dictionnaire_maritime.htm
le dictionnaire maritime par excellence

jeudi 1 décembre 2005

CONCEPT


VIE PROJECT se veut donc un concept original de visibilité pour ses partenaires grâce, à terme, à une flotte de bateaux différents couvrant toutes les disciplines de la Course au large.

Devenez partenair et profitez de l’excellente image des courses à la voile pour votre communication interne, externe et corporate.

Nos partenariats incluent :

> De la visibilité sur les bateaux

Mais également :

> Des journées de disponibilité des bateaux pour vos actions de Relations Publiques
> Des accréditations dans les villages officiels lors de chaque course
> Des photos libres de droits pour relater ce partenariat en interne et en externe
> Des journées de disponibilité des skippers pour des incentives
> Des vedettes pour vivre les départs de course avec vos invités

Contactez nous pour un programme spécifique

CONTACT
Pascal LEFEUVRE - Responsable des partenariats
p.lefeuvre@hotmail.fr - 06.24.84.07.41

La philosophie et l'ambition de VIE_PROJECT

"La philosophie et le concept de VIE PROJECT s'inspirent des idées d'ouverture, d'émergence et de transmission du savoir aux générations futures. La démarche intellectuelle du projet n'est pas vraiment nouvelle, mais souligne l'intérêt que nous portons aux notions de talent, d'enthousiasme et de détermination des jeunes. Je pense que notre rôle dans ce projet est de favoriser la transmission et de l'expérience pour exprimer les nouveaux talents."

Des talents existen tpartout et à quil’ on doit donner l'opportunité de s'exprimer dans un univers qui n'est pas forcément le leur. Lle lancement actuel de VIE_PROJECT n'est qu'un premier pas dans ce sens et il permettra de mieux expliquer ce que veux dire pour nous le terme de "filière ". Mettre les gens en situation d'exprimer leur potentiel, au meilleur moment, sur le meilleur support.. A nous de les accueillir et de réfléchir à la meilleure façon de les faire travailler ensemble.."

Je suis convaincu que l'on enrichit le niveau de connaissance d'un groupe quand on le fait tourner sur des supports différents

Ce grand projet est ma mission, mener le team vers ses objectifs. Je suivrai le développement de cette notion de "filière" qui nous est chère et poursuivrai le dans la durée. Notre équipe sera là en soutien logistique, moral, technique pérenne.


Puces de mer

La caverne d'Ali Baba du marin : Des stocks
fou, arrivages permanents, des affaires, des
prix ! A visiter absolument...
D'autant plus que le patron, Olivier SERRA est un type très sympa.
Serra Marine Stock Ouistreham
Z.A du Maresquier rue de la Crête aux coqs
14150 Ouistreham
.02 31 96 79 67

lundi 28 novembre 2005

ILS NOUS SOUTIENNENT




ET NOUS LES REMERCIONS


mardi 22 novembre 2005

Le projet Creative Commons


Creative Commons propose gratuitement des contrats flexibles de droit d'auteur pour diffuser vos créations.

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Inspirées par les licences libres et le mouvement pour l'accès ouvert, ces contrats facilitent la diffusion, la réutilisation et la modification d’œuvres (textes, photos, musique, vidéos, sites web…).
Les contrats Creative Commons permettent d’autoriser à l’avance le public à effectuer certaines utilisations selon les conditions exprimées par l’auteur.



Description du projet iCommons en France


Creative Commons propose des contrats-type pour la mise à disposition d’œuvres en ligne. Inspirés par les licences libres, les mouvements open source et open access, ces contrats facilitent l'utilisation d’œuvres (textes, photos, musique, sites web…).

Toute exploitation d'une oeuvre (hors domaine public et exceptions) nécessite d'obtenir l'autorisation des titulaires de droit avant de pouvoir la reproduire, la diffuser sur les réseaux peer to peer ou autrement, ou l'adapter. En revanche, les licences Creative Commons autorisent à l'avance le public à exercer ces actes, selon certaines

Il ne s’agit pas d’assurer une protection technique aux œuvres placées sous licence Creative Commons, mais d'offrir plus de droits au public en l'informant que certaines utilisations sont consenties à titre gratuit.

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Le site du Ministère de la Culture propose des fiches expliquant le droit de la propriété littéraire et artistique applicable en France par défaut http://www.culture.gouv.fr/culture/infos-pratiques/droits/
Les options et les contrats disponibles



Voici les 6 licences disponibles à partir de l'interface "Choisissez votre licence"

Elles sont designées par leur nom et les icônes représentant les différentes options choisies par l'auteur qui souhaite accorder plus de libertés que le régime minimum du droit d'auteur en informant le public que certaines utilisations sont autorisées à l'avance.

* Paternité : l'oeuvre peut être librement utilisée, à la condition de l'attribuer à son l'auteur en citant son nom.
* Pas d'Utilisation Commerciale : le titulaire de droits peut autoriser tous les types d’utilisation ou au contraire restreindre aux utilisations non commerciales (les utilisations commerciales restant soumises à son autorisation).
* Pas de Modification : le titulaire de droits peut continuer à réserver la faculté de réaliser des oeuvres de type dérivées ou au contraire autoriser à l'avance les modifications, traductions...
* Partage à l'Identique des Conditions Initiales : à la possibilité d'autoriser à l'avance les modifications peut se superposer l'obligation pour les oeuvres dites dérivées d'être proposées au public avec les mêmes libertés (sous les mêmes options Creative Commons) que l'oeuvre originaire.

D'autres options sont disponibles en anglais et n'ont pas encore été traduites en droit français. Elles sont adaptées aux besoins du sampling, des pays en voie de développement, du partage de la musique, dédiées au domaine public...



Les conditions communes à tous les contrats :

* Offrir une autorisation non exclusive de reproduire, distribuer et communiquer l'oeuvre au public à titre gratuit, y compris dans des oeuvres dites collectives.

* Faire apparaître clairement au public les conditions de la licence de mise à disposition de cette création, à chaque utilisation ou diffusion.

Chacune des conditions optionnelles peut être levée après l'autorisation du titulaire des droits.


Les exceptions au droit d'auteur ne sont en aucun cas affectées.

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Le partage de fichiers (peer-to-peer) n'est pas considéré comme une utilisation commerciale.

Les licences sont modulables et existent sous 3 formes :
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Comment faire pour placer vos oeuvres sous l'une des licences Creative Commons ?

Toute copie ou communication de l’œuvre au public doit être accompagnée du contrat selon lequel elle est mise à la dissposition du public, ou d'un lien vers ce contrat.
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http://creativecommons.org/technology/usingmarkup Qui sommes-nous ?

Le CERSA, institution affiliée pour Creative Commons en France

Le CERSA, Centre d'Etudes et de Recherches de Science Administrative, laboratoire de recherche rattaché à l'Université Panthéon-Assas Paris 2 et au Centre National de la Recherche Scientifique - CNRS est l'institution affiliée à Creative Commons en France.

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CERSA CNRS-Université Paris II

10 rue Thénard

75005 Paris

http://www.cersa.org/

courrier électronique : ccfr AT ibiblio.org (en remplaçant AT par @) Creative Commons : http://creativecommons.org/

Creative Commons France : http://fr.creativecommons.org/

Creative Commons Pays-Bas : http://www.creativecommons.nl/

Creative Commons Afrique du Sud : http://za.creativecommons.org/

Creative Commons Taiwan : http://www.creativecommons.org.tw/

Creative Commons Australie : http://www.creativecommons.org.au/

Creative Commons Finlande : http://www.hiit.fi/de/creativecommons/

Creative Commons Italie : http://www.creativecommons.it/

Creative Commons Luxembourg : http://www.luxcommons.lu/

RÉFÉRENCES



lundi 21 novembre 2005

Petit mais vaillant


Comment transformer une Caravelle en vieux grément et tourner autour de la Corse !

http://www.nauticaltrek.com/caravelle_a_greement_traditionnel.htm

Figaro ci - Figaro la


Un quotidien sérieux comme celui-la publie aussi des articles intéressants, la preuve sur http://www.lefigaro.fr/ :





Le marché du sponsoring sportif a attiré un milliard d'euros
communication À peine 2% des entreprises françaises concentrent un tiers des dépenses en 2005, selon une étude de Havas Sports. Christine Lagoutte [15 novembre 2005] COMBIEN INVESTISSENT les entreprises dans le sponsoring sportif en France ? L'échec de la candidature de Paris 2012 pour l'organisation des JO a-t-il marqué un coup d'arrêt à l'engouement des acteurs économiques ? L'étude réalisée par Havas Sport et l'Observatoire de la chaire européenne de marketing sportif de l'Essec, dont les résultats sont présentés ce matin, confirme que le sport intéresse de plus en plus de sociétés. Le marché affiche une croissance annuelle comprise entre 5 et 9%. «Si l'on recense l'ensemble des tickets d'entrée payés en France par les sociétés pour parrainer un événement, un club ou une équipe, on arrive à un peu plus d'un milliard d'euros dépensés pour la saison 2004-2005, ce qui équivaut en taille à un peu moins de 9% du marché publicitaire», explique Lucien Boyer, directeur général de Havas Sports. En ajoutant les budgets d'exploitation de ces partenariats (relations publiques, communication etc.), ce chiffre peut être multiplié par trois ou quatre. Si quelque 5 000 annonceurs cèdent aujourd'hui à la vogue du sponsoring sportif, un très petit nombre de sociétés (essentiellement celles du CAC 40) concentre les gros investissements. «2% des entreprises représentent à elles seules à peu près 30% des dépenses de sponsoring», constate Lucien Boyer. Les télécoms en pôle position On retrouve les télécoms en tête, et au premier chef Orange, sans doute le premier investisseur dans le sport en France avec un peu plus de 23 millions d'euros, acquisitions de droits sportifs compris. Le secteur bancaire devient aussi de plus en plus actif, avec BNP Paribas ou la Société générale, qui poursuivent l'élargissement de leur ancrage dans le tennis et le rugby. L'hyperconcentration ne concerne pas simplement les annonceurs. Deux sports clés raflent toutes les mises, avec plus de 54% des budgets : la compétition automobile et le football. Tout comme le tennis (210 millions) et le cyclisme («Il y a pourtant de longues listes d'attente pour devenir partenaire de Roland-Garros ou du Tour de France», observe le responsable de Havas Sports), le rugby et la voile (180 millions d'euros à eux deux) sont largement distancés. Si des sociétés comme Brossard font leurs premiers pas dans le sponsoring avec elle, la voile reste victime de la complexité de son organisation et du manque de «lisibilité» des courses. Pour Lucien Boyer, l'aventure olympique de Paris a conduit de nouveaux arrivants à s'interroger sur leur présence dans leur sport : «Ils ont expérimenté un terrain qui n'était pas naturellement le leur et ils réfléchissent aujourd'hui à la poursuite de cet engagement.» En outre, relève-t-il, la perspective d'événements majeurs comme la Coupe du monde de rugby en 2007 conduit certains annonceurs, d'ordinaire très actifs en publicité pure, à travailler sur des projets de sponsoring. C'est le cas, entre autres, de la marque de lessive Skip.

Voila un blog qu'il est bien


On n'hésite pas, on va tout de suite visiter http://blogs.lexpress.fr/aularge/archives/2005/11/ailleurs_quau_l.html

en bref : "17 novembre 2005
Ailleurs qu'Au Large

[Mini-Transat 2001, sortie du Pot-au-Noir, GV 1 ris, gennaker : vitesse 11 noeuds, les dauphins et Miles Davis à fond... (c) PYL, le bon vieux temps]

Suite à la honteuse campagne d'autopromotion de David Sineau ;-), je suis parti à la pêche pour voir si j'avais beaucoup de confrères blogueurs. Ben, pour l'instant, on est pas nombreux ! Et c'est dommage, notamment pour les coureurs, pour qui le blog me semble un média idéal pour raconter au jour le jour leur projet...

Ceci dit, j'ai quand même détecté :

http://davidsineau.typepad.com, donc, le blog de David Sineau, un ministe - en proto.

http://popup.hautetfort.com, le blog de Laurent Morisseau,coureur en mini de série.

http://voile.blogs.liberation.fr, Bon Vent, le blog de Libé, dont je vous ai déjà parlé.

http://liensdemer.blogspirit.com, Liens de Mer, un "portail maritime participatif", qui dégotte quelques bonnes ressources en ligne.

http://vie-project.blogspot.com, un blog récent, d'un futur coureur en 40 pieds, si j'ai bien compris, avec beaucoup d'infos sur le sponsoring.

http://voiles.over-blog.org, le blog d'une famille qui navigue autour du monde.

Quelques Skyblogs, pour nos plus jeunes amis :
http://manuvoile.skyblog.com
http://polo483.skyblog.com

Et une poignée de blogs arrêtés :
http://pyl.typepad.com, blOg arOund the glObe, cher à mon coeur...
http://nam.over-blog.com, par l'auteur de Liens de Mer, à propos du Vendée Globe 2004-2005.

Enfin, je tiens de source sûre que Yann Eliès se lancerait prochainement dans la blogosphère, pas vrai Sandrine ;-)

Si vous souhaitez compléter la liste, n'hésitez surtout pas !


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URL de TrackBack de cette note:
http://blogs.lexpress.fr/mt-tb.cgi/181"

il parle de nous


Merci à ce sympathique ministe,
qui a encore quelques besoins :
"Je suis à la recherche de sponsors pour les deux saisons à venir
Nantes-Les Açores-Nantes 2006
Transat 6m50 2007
si vous êtes interessés, n'hésitez pas à prendre contact
Je cherche aussi des bonnes volontés pour m'aider à communiquer sur le projet (design Poster et Tee -shirt, présentation flash,..).
Pour m'envoyer pleins d'idées géniales"

comme quoi c'est pas la taille du bateau qui importe le plus !
Enfin tant que ca fait pas "teuf,teuf - vroum - pout-pout", l'important c'est d'être heureux sur l'eau, que ce sooit en multi 60, en mono 50, 40, 6,50, en vieu gréement, en caravelle ou en HB16

Pour rappel, son blog :

http://popup.hautetfort.com/archive/2005/11/14/vie-project.html


VIE-Project



un blog à lire: VIE_Project (Voile Insertion Entreprise) à la fois sur ce projet d'insertion autour d'un 40' et aussi beaucoup d'informations sur le sponsoring, les projets de 40',...

jeudi 17 novembre 2005

PROBLEME - SOLUTIONS



PROBLEME
De plus en plus d'entreprises s'intéressent à la voile. Elle bénéficie d'une image saine et offre la possibilité de donner son nom à un bateau. De plus, c'est le sport qui à ce jour a le mieux su tirer parti des nouvelles technologies pour accroître sa médiatisation. Cependant, beaucoup d'entreprises hésitent à passer à l'action, doutant de leur capacité à gérer les deux enjeux fondamentaux de tout partenariat :
- garantir des retombées positives quelque soit le résultat sportif ;
- transformer les valeurs d'un sport en valeurs d'entreprise.

SOLUTION
Cette capacité, nous pouvons vous l'apporter. Plutôt que de vanter notre savoir-faire, nous préférons vous aider à évaluer l'intérêt que la voile peut représenter pour votre société en vous donnant quelques repères sur :
- les atouts de la voile en tant que sport et en tant que support,
- les règles d'or d'un partenariat efficace,
- les budgets de différents types de partenariat,
- les retombées et la manière de les évaluer.

DES VALEURS FORTES*
Les qualités humaines : sincérité, responsabilité, solidité, équilibre, courage, engagement
La technologie : nouveaux matériaux, carbone, technologie, calcul, pensée, compétence.
L'évasion, le rêve : évasion, voyage, fascination.
L'aventure : aventure, danger.
La nature : immensité, nature, écologie, temps.



UN SPONSORING EFFICACE
La restitution : une très bonne restitution des marques ; plusieurs entreprises identifiées comme sponsors de la voile ne le sont plus depuis plusieurs années.
La légitimité : fondée non pas sur un lien direct avec la mer, mais sur un investissement durable dans la discipline et sur la fidélité à celle-ci.
La notoriété : une notoriété des sponsors qui dépasse très largement le coeur de cible de la voile (personnes déclarant suivre la voile à travers les médias).

UN PUBLIC A FORT POUVOIR D'ACHAT*
Le sexe : sur 10 personnes s'intéressant à la voile, 7 sont des hommes.
L'âge : les 35-55 ans représentent 40% du coeur de cible de la voile.
Les revenus : les cadres supérieurs et professions intermédiaires représentent un tiers des personnes s'intéressant à la voile.

QUELQUES CHIFFRES
Pratiquants : 8 millions de Français
Supporters : 24 millions de Français
Audience du Tour Voile : 10 millions de Français
Notoriété de Fleury-Michon : + 38 points de 1982 à 1986
Temps d'antenne TV des événements en 2003 : 20h30
Retombées (équivalent publicitaire) des événements en 2003 : 2 M€

COMMENT BIEN INVESTIR

1) Définir les objectifs
du partenariat et les consigner par écrit : cible, effet recherché, niveau de performance.

2) Allouer un budget à l'exploitation
au moins 20% du budget global d'un partenariat avec une compétition, de 30 à 50% dans le cas d'un partenariat avec un équipage.

3) Nommer un responsable
ou constituer un comité de pilotage (selon l'importance du projet) chargé de l'interface entre le sportif / l'organisateur et l'entreprise, et de la coordination interne entre les services concernés par l'opération.

4) Informer le personnel
sur la nature de l'opération, ses objectifs, le bénéfice qu'il peut en retirer. Idéalement, le faire participer. Le personnel doit ressentir la légitimité de l'opération et se l' " approprier ", sous peine de démotivation.

5) Appuyer la promotion média
du partenaire sportif en mettant à contribution le service de presse de l'entreprise, de façon à obtenir la couverture média la plus large possible. Idéalement, tous les partenaires d'un projet doivent combiner leurs moyens.

6) Rechercher le contact direct
entre votre cible et le partenaire sportif de façon à associer votre entreprise à un événement " privé " - c'est-à-dire vécu - de la cible. Sur site : distribution d'échantillons, animation, invitations VIP ; dans l'entreprise : conférences, dédicaces, déjeuners avec le skipper / l'équipage.

7) Vérifier la cohérence
des actions menées avec les objectifs poursuivis : atteignez-vous votre cible, que pense-t-elle de votre démarche, cela modifie-t-il son attitude vis-à-vis de votre marque ?

8) Privilégier les partenariats de longue durée
qui autorisent des économies d'échelle, une meilleure mémorisation grâce à la répétition et un ajustement des actions en fonction des premiers résultats obtenus.

9) Ne pas négliger la complémentarité
de deux milieux - la voile et l'entreprise - qui ont une approche différente de problèmes identiques (travail d'équipe, motivation, poursuite d'objectifs, pression, gestion du risque…). Favoriser les transferts de compétence.

10) Mesurer l'efficacité
du partenariat, dans l'absolu (exposition générée, personnes exposées…) et relativement à vos objectifs. Faire un bilan écrit.

COMMENT ÉVALUER LES RETOMBÉES ?
La décision d'investir n'est que la première étape, à laquelle certains s'arrêtent, malheureusement. A quoi bon investir sans connaître le retour sur investissement ?
Beaucoup évaluent les retombées médiatiques en calculant l' "équivalent publicitaire" de l'exposition obtenue, se félicitant quand celui-ci est supérieur au montant de l'investissement. Une démarche justifiée pour le "support" (le skipper ou l'organisateur), mais pas pour l' "annonceur" (le sponsor) : l'efficacité d'une campagne de publicité est-elle seulement liée au budget de celle-ci ? Non, bien sûr.
La manière d'évaluer les retombées doit être prévue dès le départ et dépendra avant tout des objectifs du partenariat.
La notoriété : dans la plupart des cas, un calcul du "delta de notoriété" (différence entre la notoriété après et celle avant l'opération) est amplement suffisant.
L'image : une étude d'image effectuée après l'opération (et rapportée à celle qui à logiquement précédée l'opération) est souvent incontournable ; parfois, une simple enquête qualitative peut suffire.
La communication interne : un sondage avant / après est un minimum, sans négliger l'information qualitative qui peut remonter par la voie hiérarchique et les corrélations qui peuvent êtres faites avec les performances mesurables (productivité, absentéisme...).
Le chiffre d'affaire : l'impact le plus difficile à estimer ; une enquête de motivation auprès de la clientèle corrélée avec les indicateurs commerciaux (réalisations sur objectifs, etc.) peut être cependant instructive, quand l'opération vise directement la promotion des ventes.
Les relations publiques : leur amélioration s'évalue au cas par cas en fonction du public visé ; dans le cas des journalistes, les retombées médiatiques ont effectivement une signification particulière....
La preuve produit :outre le relevé des défaillances éventuelles et de leur publicité, une étude d'image ou une enquête de motivation peuvent s'avérer utiles.




COMPARAISON

A TITRE DE COMPARAISON
QUEL PARTENARIAT POUR QUEL BUDGET ?

8 K€ Participation au Spi Ouest France, à la Course Croisière de l'Edhec

15 K€ Partenaire associé d'une régate

45 K€ Partenaire exclusif du suivi d'une régate en direct sur internet

60 K€ Partenaire exclusif du Tour de Corse en Double

Organisation d'une course corporative
Organisation d'une opération de relations publiques avec des skippers de renommée
90 K€ Participation au Tour de France à la Voile, à la Solitaire du Figaro (budget minimum)

Participation à une saison nationale complète de régate
Organisation d'une régate nationale
105 K€ Partenaire exclusif de la Pro-Am Cup

Partenaire du Championnat de France de Course au Large
150 K€ Partenaire exclusif de la One Ton Cup

Participation au circuit Figaro (Grands Prix, Solitaire), au Tour de France à la Voile
Organisation d'une régate internationale)
900 K€ Participation au Vendée Globe Challenge, à la Route du Rhum (budget minimum)

Participation à l'Admiral's Cup (budget minimum)
Organisation d'une course transatlantique
1,2 M€ Participation au Vendée Globe Challenge, à la Route du Rhum (budget moyen)

Organisation d'une course au large par étapes, d'un tour du monde sans escale
1,5 M€Participation à l'Admiral's Cup (budget moyen)

Tentative de record autour du monde (Trophée Jules Verne)
3 M€ Organisation d'un circuit mondial professionnel, d'un tour du monde avec escales

5 M€ Participation à la Volvo Ocean Race (budget minimum)
10 M€ Participation à la Volvo Ocean Race (budget moyen)

le projet fournit par nos amis anglais

T H E C O N C E P T

The creation of this Open 40 design has been driven by a number of clients who have expressed interest in offshore/ocean racing but do not have either the time, budget or inclination to involve themselves in the 50/60 circuit, now almost wholly the preserve of professional skippers and corporate budgets.

Accordingly, Owen Clarke Design have been working to produce the next generation Open 40 design which will deliver all the thrills and spills of Open class racing but without excessive outlay. Conceptually, the Open 40 occupies the middle ground of the Open class spectrum - the Mini Transats and the 60s representing the extremes both in terms of cost and the commitment required to extract the best from them.

This Open 40 is no less extreme in terms of the performance profile but, in line with current thinking on all our Open boats, we are striving to produce a more all-round and balanced profile that is as potent upwind as it is down. This is achieved by a careful blend of technologies and the on-going development of proven solutions from our current Grand Prix boats. The resulting synthesis is a single/short-handed ocean racer that delivers security, pace and value.

T H E R A C I N G C A L E N D A R

In addition to national events such as the Bermuda 1-2, the following international events will have classes for 40’s


2006

January Cape Town to Rio
Fully crewed (every 3 years).

June Round Britain and Ireland Race
Double-handed.

September Around Alone
Single-handed.

November Route du Rhum
Single-handed.

2007

March Osaka Cup (Melbourne - Osaka)
Double-handed (every 4 years).

June AZAB
Double-handed (every 4 years).

November Transat Jacques Vabres
Double-handed, France to Brazil (alternate years).

T H E D E S I G N

By the very nature of this design some owners will wish to customise their craft and to this end we have drawn a generic boat with three basic options showing wheel and tiller steering as well as an optional cuddy/coachroof extension. There is scope for further personalisation, particularly with regard to the deck layout and interior arrangement.

P R I N C I P A L D I M E N S I O N S

Hull

LOA: 12.192 m
Length at waterline: 1.650 m
Max. Beam: 4.380 m
Draught: 3.600 m
Displacement (lightship) 3780 kg
Ballast: 1200 kg


C O N S T R U C T I O N

The structure will utilise both unidirectional and biaxial carbon fibre in ’wet preg’ form around a PVC foam core. By careful variation of skin material weight and appropriate core density we can deliver what we believe to be the most cost-effective structural solution without compromising safety and stiffness and yet retain the performance profile that is our trademark.

Hull penetrations at the keel and daggerboard are to be executed in solid laminate to ensure structural integrity under extreme conditions.

Canting Keel

The high tensile steel keel fin with lead bulb is driven by twin hydraulic rams to give precise and secure control over the angle of the fin.


Daggerboard

A single carbon daggerboard within its own case is positioned in front of the mast. Running through all around bearings, the board tacks automatically. The daggerboard is lifted by a manual pulley system via a deck-mounted lifting pillar.

Preliminary Drawings

Enclosed are preliminary drawings including:


1. General arrangement

2. Deck plan with cuddy and till steering

3. Deck plan with wheel steering option and short cuddy

4. Sail plan

S T E E R I N G S Y S T E M

Single tiller or wheel via lightweight quadrant with Vectran linkage.

Compasses set into deck only.

Auto Pilot

Provision to be made to accommodate a double pilot ram below deck.

Water Ballast

Two sea water trim tanks of approx 500 litres each are located under the cockpit sole aft of the companionway bulkhead. Fill/empty via a pair of custom 3” scoop/venturi valves. Valve operation is manual at valve.

I N T E R I O R

General

The interior arrangement consists of a central navigation station located forward and above the engine housing. Port & starboard are pipe cots. At the aft end of the engine enclosure there is a simple galley consisting of a single gas burner with integral supply, and a sink with foot-operated pumps for fresh and sea water.

Aft of the companionway bulkhead there are 2 further pipe cots to port and starboard.

Hatches

Internally the hull is divided into 5 watertight compartments affording maximum security and survivability both for the structure and the crew.

D E C K E Q U I P M E N T & F I T T I N G S

General

Halyards and lines running from the mast base will run in a channel in the coachroof top, exiting onto the side deck from where they will be led aft. A similar, but smaller, channel will carry the daggerboard control line aft to the mast base. All channels
have moulded cover plates with winch handle tightened hold-downs. There will be a forward deck hatch for access to the forward sail locker.
Winches

Harken winches: 1 x Halyard B40.2 STR (fitted on port side of mast)
6 x Primary B48.2 STR
Handles: Speed grip B10ASG

Hatches and Port Lights

1 custom flush hatch for foredeck.
2 Port lights in coach roof.

Deck Hardware

Deck hardware is to be Harken, Frederiksen, Lewmar or equivalent.
Jammers and rope clutches are to be Spinlock.

Deck Surface

Working deck painted non-slip.

Miscellaneous

Titanium pulpit, pushpit and stanchions. Stanchions to locate into composite sockets, 5 per side.

Lifeline wires - 1 by 19 wire –5mm.

Kevlar mooring chafe strips at the bow, amidships and stern.

All stainless steel will be Stainless Steel 316L. All aluminium will be marine grade aluminium, AL 5083, or AL 6061 and marine hard anodised

Jackstays – webbing.

M A S T A N D R I G

Mast

Carbon - tapered, deck stepped.
Spreaders and tangs.
Composite mast step.

Rig

P - 17.939 m
E - 6.457 m
I - 18.654 m
J - 5.044 m

Mast equipment

2 x pair spreaders, 20° sweepback.
The mast finish will be painted.
Mast top with sockets for mast top unit, Windex, Top light, VHF-Antenna, etc.

Masthead with sheave for Gennaker and main halyards. Jammer for Gennaker halyard on mast.

1 x Genoa halyard
1 x Solent halyard
1 x Storm Jib halyard
1x Main halyard.

Fittings and Conduit for wiring
Navigation lights
Foredeck floodlight
1x Radar reflector
Electronics cables and antenna.

Boom

Carbon fibre boom section into gooseneck at mast base.

Standing Rigging

Rod-Rigging in Nitronic 50, Navtec or Riggana.
Running backstays and forestays in PBO.

Running Rigging

All ropes Vectran, or equivalent.

Furler

Manual headsail furler will be endless line type attached to composite forestay.

Bow Pole

There will be a pivoting carbon fibre bow pole located on the stem.
Permanently mounted on a stem-head bearing with control quadrant set into deck rebate. Control lines led aft. Bobstay to chainplate fitting in front of stem.



S A I L S

1 x Main 82.00 sq m
1 x Genoa 40.40 sq m
1 x Staysail 26.20 sq m
1 x Storm Jib 9.00 sq m
1 x Code 0 85.00 sq m
1 x Code 5 120.00 sq m
1 x AP Spinnaker 170.00 sq m




Build Options

An extensive tender process encompassing boat yards, spar-makers, sail lofts & electronics suppliers in the US, Canada, Australia, New Zealand and the UK has delivered some interesting results.

By far and away the most cost effective option is an Australia build. The current high value of sterling and apparent weakness of the Australian Dollar make this an extremely attractive option for European and North American buyers.

Research indicates that a complete boat is available for around AU$720 000. This is approximately half the cost of an Open 50 to a similar specification. The price would include sails, electronics package, sea trials and shipping cradle on the dockside in Melbourne ready for export. The stock design and a project management package is included in this cost

Former BOC skipper Alan Nebauer, who is currently managing Kip Stone’s Owen Clarke designed Open 50 build at McConaghy Yachts, Sydney will be providing the project management services. For a UK or European build, project management services will be supplied by the UK office.

A preliminary timetable from the builder indicates that the build process will take approximately 7 months from point of order.

For owners who wish to have a boat constructed in another location we can undertake further tender enquiries, and also assist those individuals who may not wish to have a complete yard build.

There are undoubtedly opportunities for potential owners to make cost savings by cooperating in a series build programme, sharing tooling costs and through discounts from increased buying power on items such as hardware, electronics and sails. Initial expressions of interest should therefore indicate whether owners would be prepared to be involved in such a scheme.


T H E D E S I G N T E A M

Merfyn Owen, MRINA CEng Merfyn is a chartered engineer, a member of the Royal Institute of Naval Architects and a graduate of University College, London. He spent four years as an officer in the merchant navy including service during the Falklands campaign. He has a number of significant races in both multihulls and monohulls to his credit, including skippering Global Teamwork in the 1996/97 BT Global Challenge round the world race. Merfyn also has considerable build and project management experience including managing yachts in two Around Alone campaigns (formerly the BOC) and one Vendee Globe event. Allied with over 100,000 miles and two Cape Horn passages behind him, Merfyn’s input in the design office is very much ‘hands on’ as well as having a strong engineering and technology bias.
Allen Clarke, Allen trained at Falmouth Boat Building College and Southampton Institute, studying boat building and yacht design respectively. A boat owner and keen cruising sailor for many years, with a number of long passages and transatlantic crossings behind him, he has also competed in a number of significant races including the AZAB. Allen pursued a successful career as an interior designer before returning to yacht design and surveying and brings his considerable flair and talent to play in his work with a strong feel for the aesthetics in any project as well as the practical considerations involved.
Following the success of the Kingfisher project six members of staff have been taken on at Owen Clarke Design to help take their ideas and expertise forward on a number of major projects. Matt Wood, with a degree in Sail and Power Boat Design and many years’ boat building experience, is responsible for current Mini Transat designs, the development of the Open 40 design, and has a particular role in yard liaison, preserving the integrity of designs as they are built. Matt is based in the UK’s West Country office. Tim Sadler, a qualified engineer with 14 years’ engineering design experience heads up our Auckland office. Previously with Marten Yachts, Tim was the chief systems’ engineer for the superyacht Mari Cha. Also based in Auckland, Liz Tier is a qualified Naval Architect with a Masters degree in Ship Science and a keen cruising sailor. She has been responsible for the 3D design and modelling of the 20m ‘Supercruiser’ currently in build there. A Frenchman based near Marseilles, Nadj Geslain has a degree in Engineering and a Masters in Ship Science from Southampton Institute. An experienced racing yachtsman, Nadj has completed four Tours et Voiles campaigns – probably the toughest regatta in the world. His responsibilities cover tank testing and the development of our in-house velocity prediction programme (vpp).

Office: Lower Ridge Barns, PO Box 26,
Dartmouth, Devon, TQ6 0YG, United Kingdom
Tel: +44 1803 770495 Fax: +44 1803 770517
www.owenclarkedesign.com
E-mail: info@owenclarkedesign.com

Registered Office: 20-22 Bedford Row, London, WC1R 4JS, UK
Registered at Companies House as
Limited Liability Partnership OC301507

Prix Owen Clarke


Design fees schedule for stock and ammended stock designs


Design fee #1 11163 Design fee Variable depending on options taken


Class 40 stock design Boat #1 Class 40 stock design with ammendments

On signing of contract 4465 Concept design 2348
On delivery of hull lines 2233 On signing of contract 40% of (total fee - £2348)
On delivery of hull and deck structure 2233 On delivery of hull lines 20% of ( total fee - £ 2348)
On receipt of final drawings 1116 On delivery of hull and deck structure 20% of ( total fee - £ 2348)
On completion of builders trials 1116 On receipt of final drawings 10% of ( total fee - £ 2348)
On completion of builders trials 10% of ( total fee - £ 2348)
Total 11163
Note: The purpose of the concept design stage is for those clients that wish to ammend the stock design or have a sustom designed produced to be able to approach a builder for costing purposes without commiting themselves to a design at this stage.

Syndicate series licence fees Boat #2 to #4

Prior to build commencement 3978
On completion of trials 1326

Total 5304



Note: All prices quoted in £ sterling and exclude VAT if applicable

environ un milliard d'euros

La vogue du sponsoring
Les entreprises versent environ un milliard d'euros par an au monde du sport.(16/11/2005)


Malgré l'échec de Paris dans la course à l'organisation des JO de 2012, le sport en tant que vecteur de communication suscite un fort intérêt chez les sociétés françaises, selon une étude réalisée par Havas Sports et l'Observatoire de la chaire européenne de marketing sportif de l'Essec. L'enquête recense quelque 5 000 annonceurs-partenaires sur tout le territoire mais le tiers des investissements est réalisé par une toute petite minorité d'entreprises (2%). Il s'agit souvent de firmes spécialisées dans les télécoms, à l'image d'Orange, considéré comme le plus grand "consommateur" de sport national avec 23 millions injectés en 2004/2005 dans la Ligue 1 (football), le Top 14 (rugby) et son Orange Team Sailing (voile). Le secteur bancaire est bien représenté aussi avec des enseignes comme BNP Paribas et la Société générale qui étendent leur positionnement dans le tennis pour la première et le rugby pour la seconde.
Le sport auto en pôle
Au palmarès des disciplines les plus prisées, on retrouve à la première place le sport automobile, qui draine 280 millions d'euros, talonné par le football (260 millions). Le sport roi prend sa revanche en écrasant la concurrence dans le domaine des droits télés. Bien qu'en plein essor, à l'approche de la Coupe du monde, le rugby pointe loin derrière (100 millions). Quant à la voile, elle capte tout de même 80 millions sur le marché du parrainage.

Le sport monte en puissance
En France, le marché de ce secteur dépasse celui du disque ou du cinéma hors production. Le chiffre d'affaires du sport en 2005 représente près de 29 milliards d'euros dans l'Hexagone, selon une étude d'Havas Sports et de l'Essec (Ecole supérieure des sciences économiques et commerciales) rendue publique hier. Le secteur amateur et celui du loisir se taillent la part du lion en concentrant à eux seuls 90% du montant des ventes, soit 25,7 milliards, contre 3,3 milliards pour le sport business.(16/11/2005)


Le chiffre d'affaires du sport en 2005 représente près de 29 milliards d'euros dans l'Hexagone, selon une étude d'Havas Sports et de l'Essec (Ecole supérieure des sciences économiques et commerciales) rendue publique hier. Le secteur amateur et celui du loisir se taillent la part du lion en concentrant à eux seuls 90% du montant des ventes, soit 25,7 milliards, contre 3,3 milliards pour le sport business.
D'ici à 2015, le poids du marché du sport devrait encore considérablement augmenter. Les experts tablent en effet sur une croissance annuelle estimée à 3% hors inflation.
L'embellie devrait profiter en premier lieu au rugby qui bénéficie actuellement d'un engouement sans précédent. Malgré une pratique qui reste cantonnée aux régions du Sud-Ouest, fait remarquer l'étude, le jeu à XV voit ses audiences télé exploser. La nouvelle formule du Championnat de France, le Top 14, et la proximité de la Coupe du monde en France n'y sont pas étrangères. L'enquête identifie d'autres sports en forte progression comme le surf et les disciplines de glisse.
Les femmes, un nouveau marché
Avec le marché des seniors, les femmes "sont l'avenir du sport" n'hésite pas à pronostiquer Lucien Boyer, le patron d'Havas Sports. Elles sont 48% à pratiquer une activité, majoritairement dans des sports "santé, nature et fitness". metro


mardi 15 novembre 2005

Histoire


Comme disait l'auteur antique, désolé, je ne sais plus de qui il s'agit (help welcome) : "il y a trois sortes d'hommes; les vivants, les morts et ceux qui vont sur la mer". Nous n'appartenons pas à la première pour ne pas faire partie de la seconde, a contrario nous croyons en cette troisième proposition

Les échecs de "l'EdNat"

Les vérités qui dérangent

Si l'école « va mal », ce n'est pas à cause des blocages du système.

Que doit-on mettre au centre du système scolaire ? L'élève ou les savoirs ? Il y a quelques semaines, la question s'étalait à la une des quotidiens. Aujourd'hui, les profs en colère occupent toute la place et leurs revendications ont confisqué le grand débat sur l'éducation que souhaitait organiser le ministère. Pourtant, les questions sur l'école ne manquent pas : où finit l'intérêt des élèves et où commence la démagogie, comment restaurer l'autorité des savoirs, comment organiser un service public d'éducation plus efficace, tant sur le plan pédagogique qu'économique ?

Aujourd'hui, la « Lettre à tous ceux qui aiment l'école », qui avait au moins le mérite de poser ces questions, est piétinée ou jetée dans les manifestations, et le slogan « Ferry démission » s'est substitué à toute réflexion. Les enseignants, la main sur le coeur, jurent défendre le service public. Mais ils menacent les examens nationaux, comme à Périgueux, le fief de Xavier Darcos, où les épreuves facultatives du baccalauréat n'ont pu avoir lieu. Pendant ce temps, la nécrose du système scolaire s'aggrave : les élèves en difficulté s'ennuient en cours, empêchent « ceux qui aiment l'école » de progresser, avant de décrocher et de gonfler les chiffres du chômage ou de la délinquance.

Luc Ferry a été choisi pour en finir avec ces maux bien connus. Fraîchement nommé, il avait défini sa méthode : choisir des priorités en nombre limité et s'y tenir. Il avait promis qu'il n'y aurait pas de grand soir, mais une immense ambition : réduire la fracture scolaire.

Où en est-on douze mois après ? La crise est grave. Le dialogue semble rompu. Certaines réformes sont bloquées, en attendant des jours meilleurs, d'autres sont déjà en cours et, selon le ministère, portent leurs fruits. Ce bilan, contrasté, permet de faire le point sur la seule question qui compte : à l'école, quoi de neuf pour nos enfants ?

1 L'école n'est plus un ascenseur social.

Chaque discours de Luc Ferry commence toujours par rappeler cette évidence : le budget que la nation consacre à l'éducation a crû ces vingt dernières années de 25 %. Mais les performances du système ne sont pas à la hauteur de ces efforts : depuis les années 90, l'accès au bac marque le pas, le nombre de jeunes qui sortent de l'école sans qualification ne baisse plus. Le taux de chômage des moins de 25 ans est le plus élevé des pays développés. Le premier ministère de France, qui absorbe 23 % des dépenses de l'Etat, veut mieux utiliser ses ressources, et donc mieux cibler les besoins. Un exemple ? La maternelle dès 2 ans. Cette scolarisation précoce avait été conçue pour préparer l'entrée en primaire des enfants issus de familles défavorisées. Pas pour permettre aux cadres supérieurs de faire des économies de nourrice ! Pour les enseignants, ce souci de gestion montre que l'éducation n'est plus la priorité nationale de ce gouvernement.

2 - L'illettrisme caracole à la sortie du primaire.

Malgré les querelles de chiffres, le diagnostic est irréfutable : entre 15 et 20 % des élèves arrivent en 6e sans maîtriser suffisamment l'écrit. Pour ces gamins, tout est déjà trop tard : exclus parfois depuis le CP, ils sont dégoûtés de l'école et souffrent de lacunes qu'aucune mesure de soutien ne peut plus combler. En énonçant ces données, Luc Ferry met le doigt là où ça fait mal : le primaire.

Mesure essentielle du dispositif contre l'illettrisme : des classes dédoublées en CP, où une dizaine d'élèves repérés comme souffrant de difficultés reprennent le b.a.-ba, tant qu'il en est temps. D'abord expérimentale, la mesure est étendue : 500 classes de CP seront concernées à la rentrée, auxquelles il faut ajouter le dédoublement partiel, à raison de huit à neuf heures par semaine, de 1 500 autres. Cela représente 20 000 élèves.

Autre mesure qui concerne tous les élèves : affirmer et inscrire dans les programmes le caractère fondamental de la maîtrise de l'écrit. C'est pourquoi le maître doit faire lire et écrire les enfants au moins deux heures et demie chaque jour.

3 Le naufrage du collège unique.

L'enterrement sans tambour ni trompette du collège unique est la réussite majeure de Luc Ferry. Dès son arrivée, le ministre remet en cause l'objectif irréaliste de mener 80 % d'une classe d'âge au bac. Ouf ! murmurent les enseignants, qui, depuis longtemps, peinent à accueillir dans leur classe des élèves manifestement peu faits pour les études. Nouvel objectif non moins ambitieux : 100 % des élèves doivent obtenir une qualification. Actuellement, ils sont 8 à 9 % qui, après douze ans minimum passés devant le tableau noir, sortent sans l'ombre d'un métier dans les mains. Pour eux, Luc Ferry développe les classes en alternance, où, dès la 4e, ils peuvent, quelques jours par semaine, découvrir des métiers en lycée professionnel, ou même en entreprise. A la rentrée prochaine, plus de 20 000 collégiens bénéficieront de ce dispositif.

La mesure bouscule les tabous. Habilement, elle n'est pas imposée nationalement, mais une grande marge de manoeuvre est laissée aux établissements. Luc Ferry le sait : les enseignants sont preneurs. L'abandon du collège unique passe comme une lettre à la poste.

4 Violence : des silences pudiques.

L'école, depuis longtemps, n'est plus un sanctuaire. Xavier Darcos, chargé plus spécialement du dossier de la sécurité, estime que le logiciel de signalement des faits graves mis en place par Jack Lang ne reflète qu'imparfaitement la réalité : trop de proviseurs et de principaux, soucieux de la réputation de leur établissement, répugnent à signaler les exactions commises. Selon lui, c'est une trop grande compréhension, voire le laxisme, qui s'est instaurée dans les classes. L'heure est à la « tolérance zéro ».

Les mesures prises sont spectaculaires, mais en réalité s'inspirent de ce qui se fait déjà sur le terrain, comme ces « classes d'exclusion-inclusion » où l'on accueille durant quelques jours les fauteurs de troubles ou les absentéistes chroniques : elles évitent de laisser les enfants, souvent déjà en voie de déscolarisation, livrés à eux-mêmes. Mieux, elles les remettent sur les rails. De l'avis de Colette Cassini, principale d'un collège particulièrement difficile à Evry, ce dispositif a permis une diminution sensible des conseils de discipline. Ceux-ci ont par ailleurs été modifiés : auparavant siégeaient dans ces conseils, chargés de juger les manquements les plus graves, 11 membres, dont 6 représentants de l'équipe éducative. Aujourd'hui, les responsables éducatifs sont plus largement majoritaires. Cette mesure se veut symbolique : il s'agit de restaurer l'autorité de l'institution. Au cabinet de Xavier Darcos, on constate qu'en un an les chiffres de la violence scolaire ont diminué de 10 %.

5Aides-éducateurs : les profs réclament ceux qu'ils rejetaient.

On ne peut espérer réduire la violence scolaire si l'on supprime ceux qui, dans les écoles, surveillent les élèves. Un constat de bon sens, mais qui relève pourtant d'un amalgame entre les surveillants et les aides-éducateurs, emplois-jeunes créés par Lionel Jospin. Ces contrats prévus pour cinq ans arrivent à expiration. Ils ne seront pas renouvelés pourtant. A entendre les enseignants, les établissements ne peuvent plus tourner sans ces 20 000 jeunes, qui s'occupaient de la bibliothèque, assuraient des heures de soutien et surveillaient la récré. Il est bon toutefois de se souvenir qu'il y a cinq ans ils n'avaient pas de mots assez durs pour dénoncer l'intrusion de ces non-pédagogues dans l'école. Pour remplacer surveillants et aides-éducateurs, Luc Ferry crée un nouveau et unique statut : 16 000 assistants d'éducation relèveront tous les surveillants et la moitié des emplois-jeunes. « Le compte n'y est pas », clament les enseignants. Vérification faite dans quelques établissements difficiles de banlieue parisienne : à la rentrée prochaine, il y aura autant de jeunes pour surveiller les élèves.

6 - Le chiffon rouge de la décentralisation.

Education nationale, combien de divisions ? A 10 000 employés près, nul ne le sait. Mais Luc Ferry estime à 1,5 million le nombre de personnes travaillant pour son grand ministère, qui comprend également la jeunesse. 110 000 fonctionnaires, soit 7 % de cette énorme masse, vont être transférés aux régions. Ouvriers d'entretien, médecins scolaires, assistantes sociales et conseillers d'orientation-psychologues (les copsy) dépendront désormais de la fonction publique territoriale. Les personnels concernés ont appris leur transfert par une simple lettre : une erreur de communication qui se paie aujourd'hui au prix fort. Car, sur le terrain, ce principal du Val-d'Oise remet les pendules à l'heure : le médecin scolaire ? « Il est présent un jeudi par mois, soit dix jours par an. » L'assistante sociale ? « Elle assure normalement neuf heures par semaine. Mais, faute de candidate, nous n'en avons pas vu depuis trois ans. » Le copsy ? « Il est en grève depuis trois mois ! En temps normal, il est là deux heures par semaine et reçoit uniquement sur rendez-vous. » Conclusion ? « Franchement, ça ne peut pas être pis. »

7 - Pourquoi la question des retraites fait mal.

Luc Ferry n'a pas son pareil pour diagnostiquer la crise du système éducatif, et donc le malaise des profs. Il le sait : quiconque entre aujourd'hui dans ce métier est d'emblée accablé. La perspective d'être confronté à une trentaine de gamins, au mieux turbulents, au pis hostiles, pendant quarante ans est inimaginable. La question des retraites est donc particulièrement explosive, malgré les vacances, malgré une espérance de vie largement supérieure aux autres métiers reconnus pénibles. Plus que les mesures techniques de décentralisation, ou de statut des surveillants, c'est bien ce malaise que traduisent les manifestations. Mille signes le démontrent : l'imprécision des revendications des enseignants, qui accusent le ministère de vouloir « démanteler » le service public ou, pis, de le « privatiser » ! Voilà pourquoi, en première ligne, on trouve les jeunes profs, nommés en ZEP, à l'épicentre de la fracture sociale. Voilà sans doute pourquoi on y voit aussi les anciens, qui ont essuyé les plâtres de trente-cinq ans de réformes, ont subi la massification et ont vu la considération dont ils jouissaient à leurs débuts lentement se dégrader.

C'est sur ce terrain que Luc Ferry veut contre-attaquer. Il doit proposer des mesures de revalorisation du métier. Début et fin de carrière, passerelles vers d'autres métiers de la fonction publique, formation des maîtres : tout devrait changer. Si les profs qui réclament sa tête lui en laissent le temps...

De plus en plus de profs

Le récent rapport de la Cour des comptes sur la gestion du système éducatif soulignait ce fait têtu : pendant que le nombre de profs augmente, la population scolaire est en baisse. Dans le secondaire, on prévoit qu'il y aura 230 000 élèves de moins d'ici à 2010. Dans le primaire, en revanche, en raison du mini- « baby-boom » de ces dernières années, les effectifs des maternelles et du primaire devraient augmenter de 180 000 enfants sur les dix ans à venir. Cela explique en partie pourquoi les enseignants du premier degré sont en première ligne dans le mouvement qui secoue actuellement l'Education nationale. Mais cela éclaire aussi les raisons pour lesquelles Xavier Darcos s'interroge tout haut sur l'opportunité d'avancer l'âge de la scolarité. Un tiers des enfants de 2 ans sont actuellement en maternelle, alors qu'aucune étude ne démontre que cette scolarisation précoce ait le moindre effet sur leurs résultats futurs.

De la même manière, l'objectif des politiques éducatives a toujours été de diminuer le nombre d'élèves par classe : il est ainsi en moyenne de 23 dans le primaire, de 24 au collège et de 26 au lycée. Pourtant, la Cour des comptes souligne que l'efficacité de cette réduction de la taille des classes n'est pas non plus démontrée.

Les privilégiés du secondaire

Le budget de l'Education nationale est le premier budget de l'Etat, et depuis vingt ans, il n'a cessé d'augmenter. Il représente aujourd'hui 23 % des dépenses de l'Etat. Ce n'est pas le cas chez la plupart de nos voisins, qui ont tenu compte de la baisse démographique et diminué la part de l'éducation dans leur budget national. Surtout, chaque pays a fait des choix pour utiliser au mieux cette dépense. Les chiffres montrent que la France a choisi d'investir dans le secondaire. Au détriment du supérieur, notoirement sous-doté : un étudiant à l'université « coûte » 33 800 euros, un investissement nettement inférieur à la moyenne dans les pays de l'OCDE, où il atteint 35 100 euros. Le primaire est également moins pourvu que le secondaire : par exemple, beaucoup d'heures de soutien ont été distribuées dans les collèges pour contrer l'échec scolaire, sans que l'on se pose la question de savoir si la réussite scolaire ne se joue pas dès le primaire. Mais il est vrai que les professeurs du secondaire sont majoritaires dans le corps enseignant. Ils ont donc pu peser de tout leur poids pour réclamer « des moyens ».

50 % d'échec en début d'études supérieures

Les deux tiers des jeunes Français accèdent aujourd'hui au baccalauréat. C'est un bouleversement majeur, à l'origine de bien des difficultés actuelles. Car cette explosion des effectifs du secondaire s'est faite sans que l'on remette en question le contenu des enseignements. Une bonne partie du malaise des profs vient de là. Celui de l'université aussi : les taux d'échec dans le premier cycle de l'enseignement supérieur sont de 50 %. Pis ! La démocratisation du secondaire est un trompe-l'oeil : le taux d'accès des classes populaires aux grandes écoles reste dérisoire. Un échec mal vécu par un corps enseignant viscéralement attaché à la notion d'égalité.

Les Français, avant-derniers de la classe européenne

11,6 % des jeunes de 17 ans convoqués à la journée d'appel de préparation à la défense ont des difficultés de compréhension d'un texte écrit. C'est un échec majeur de notre école. Non que l'école d'hier ait fait beaucoup mieux. Mais, à la différence notable de ce qui était autrefois acceptable, aujourd'hui, toute insertion sociale est interdite à ceux qui ne maîtrisent pas suffisamment l'écrit. Tous les pays de l'OCDE connaissent ce problème, mais à des degrés divers. Une récente évaluation internationale était assez cruelle pour les jeunes Français : quatre ans après l'entrée des jeunes enfants à l'école, leurs résultats sont inférieurs à ceux qu'obtiennent les élèves de même âge dans les autres pays européens. Les Grecs sont les seuls à être plus mauvais, permettant donc d'éviter aux jeunes Français la place de derniers de la classe européenne. Les efforts de la nation pour son école sont décidément mal récompensés

lundi 14 novembre 2005

Témoin parmi les marins

L'organisateur Gérard Petipas évoque les évolutions de la course au large: «Il faut préserver le mystère» Ancien capitaine au long cours granvillais, navigateur d'Eric Tabarly sur Pen Duick III, Gérard Petipas, 63 ans, fonde la société Pen Duick avec l'idole des houles, en 1974. Depuis trente ans, Petipas organise et dirige de grandes courses océaniques, comme la Twostar (1990), l'Europe 1 Star (1992 et 1996), la Transat en double Jacques-Vabre (depuis 1995). Petipas revient sur son métier
L'aventure ? C'est le grand paradoxe du métier d'organisateur. On a envie de donner à voir au plus grand nombre, et, en même temps, il s'agit de préserver le mystère. Je ne suis pas partisan de filmer en continu les équipages et les bateaux. Je ne tiens pas à faire de mes courses un Loft maritime. Le public qui se presse sur les pontons partage cette pudeur et cette retenue avec les marins. Du temps de la BLU chaque auditeur interprétait le crachouillis à sa façon. On laissait l'imaginaire de l'auditeur travailler. Tout cela a disparu. Le progrès a nettoyé l'imaginaire.
Le mystère ? Une course demeure une aventure maritime, malgré les progrès technologiques. Le bateau représente toujours pour le terrien une immense interrogation. A surcommuniquer, on tuera le mystère. Mais comment médiatiser par ailleurs ? En présentant des images de mer. Mais on voit aussi les limites de cette surcommunication. Quel intérêt y a-t-il à filmer en continu un gars en train de dormir, de manger, à la barre ? Il faut garder cette distance avec les choses de la mer et avec les acteurs.

Imaginez


Actions de promotion, relations clients…
Le bateau et son environnement peuvent être utilisés comme plate-forme de communication, à quai et en mer, en France ou à l’étranger. Avec vos services, nous définissons un programme sur mesure autour de certaines courses et rassemblements nautiques, alternant sorties en mer à l’unité ou en flotte, opérations de marketing, cocktails, conférence de presse…

Team building... Luttez bord à bord,
défendez vos couleurs… Objectif, gagner !
Retrouvez les ingrédients de la compétition face aux équipes adverses en engageant votre voilier et votre équipage dans une course au large
Encadrés par des professionnels, construisez votre esprit d'équipe. Pratiquez un sport qui aide au développement personnel au sein de l'entreprise, permettant à chacun de se dépasser.

Nos prestations sont à la carte et comprennent l'ensemble de vos besoins pour de votre action de communication et l'organisation de votre participation à une course : assistance et réalisation de vos communiqués, invitation, reportage vidéo et photos… choix d'une course, inscription, programme d'entrainement, engagement monocoque 40, , licences, assurance, transport et hébergement, prise en charge des participants, entraînements, marquage du bateau au nom et logo de votre entreprise, équipements complets...

Cohésion d'équipe, stimulation,
animation force de vente…
De bonnes raisons d'embarquer vos collaborateurs pour découvrir un environnement porteur de valeurs d'aventure et de dépassement de soi.

Assistance à la communication...
- Réunion pour définition du cahier des charges
- Proposition de programme chiffré avec prestations à la carte
- Assistance à la réalisation de vos communiqués et invitation avant départ
Assistance à l'organisation...
- Choix d’une destination selon le nombre de jours = Anglo-Normandes, Brehat, Angleterre, Méditerranée, Caraïbes...
- Mise en œuvre et suivi de votre action "mer et communication"

Programme
type d'action, plan médias, déroulé, destination, équipe...
Logistique
accueil, cocktail, conférence, déplacement, hébergement...
Boutique
pavillons, marquage, cirés, objets publicitaires...
Audiovisuel
production vidéo, streaming, reportage photo, CD rom...
Internet
rédactionnel, production images, site événementiel...
Pre-presse
invitation, affiche, plaquette, communiqué, presse...
Course
monocoque open...
et de vedettes à passagers pour les départs de grande course.

Mer - Entreprises

La mer et l'entreprise
Les courses maritimes sont désormais devenues nombreuses et célèbres ; Vendée Globe, Route du Rhum,
Transat Le Havre-Baïa, Volvo Race, The Race, Solitaire du Figaro, America's Cup, Admiral's Cup etc … au point
de faire de ce sport relativement confidentiel il y a 30 ans, un sport événement à part entière, au même titre que
les Jeux Olympiques, la Formule 1, le Football ou le Rugby.
La croissance de ce sport s'est largement développée au travers de nombreuses légendes :
- légendes humaines avec des marins devenus sportifs de haut niveau comme Eric Tabarly, Florence Arthaud,
Isabelle Autissier, Loïc Peyron, Ellen Mac Arthur, Laurent Bourgnon, Paul Vatine, Peter Blake, Dennis Conner …
- légendes technologiques avec l'évolution des monocoques, mais aussi etsurtout avec l'avènement des
catamarans, des trimarans, des hydrofoils …
- légendes commerciales avec des entreprises prestigieuses à l'image de Bouygues Telecom, Primagaz, Kriter,
Commodore Côte d'Or, Fujicolor, Enza, Groupe Pierre 1er, Paul Ricard, Jet Services, Kiss, Crédit Agricole …
Une concurrence de plus en plus âpre, des hommes toujours mieux préparés, des outils de plus en plus
performants ; matériaux high tech, informatique, télécommunications …
Tels sont les paramètres actuels des grandes courses au large
ce sont les paramètres du monde de l'entreprise

Sport-Citoyen

Quand le projet sportif porte des valeurs morales

La voile comme outil d’insertion

Contribuez de façon concrète à la réinsertion de personnes en difficulté.

Offrez-leur un nouveau départ !



UN SPONSORING EFFICACE
La restitution : une très bonne restitution des marques ; plusieurs entreprises identifiées comme sponsors de la voile ne le sont plus depuis plusieurs années.
La légitimité : fondée non pas sur un lien direct avec la mer, mais sur un investissement durable dans la discipline et sur la fidélité à celle-ci.
La notoriété : une notoriété des sponsors qui dépasse très largement le coeur de cible de la voile (personnes déclarant suivre la voile à travers les médias).

UN PUBLIC A FORT POUVOIR D'ACHAT*
Le sexe : sur 10 personnes s'intéressant à la voile, 7 sont des hommes.
L'âge : les 35-55 ans représentent 40% du coeur de cible de la voile.
Les revenus : les cadres supérieurs et professions intermédiaires représentent un tiers des personnes s'intéressant à la voile.

QUELQUES CHIFFRES
Pratiquants : 8 millions de Français
Supporters : 24 millions de Français
Audience du Tour Voile : 10 millions de Français
Notoriété de Fleury-Michon : + 38 points de 1982 à 1986
Notoriété de Sodebo : + 80 % en 5 ans
Temps d'antenne TV des événements en 2003 : 20h30

L'association " Vie-Project " a pour but de :

* Montrer qu'à l'époque de la multiplication des concentrations d'entreprises de taille de plus en plus grande, il y a une vraie place pour la création et le développement de petites et moyennes Entreprises souples et réactives.
* Communiquer sur la Passion d 'Entreprendre qui est source de créativité, de développement et d 'épanouissement.

Pour chacune des entreprises, des challenges peuvent se créer, des réflexions être menées autour de la performance et la compétitivité...
L'Association conservera autour du voilier des liens inter-entreprises.
Lettres d'infos, annuaire, conférences contribueront à les développer.

Notre engagement dans la course au large :
Notre objectif est de mobiliser au moins 200 créateurs ou chefs d'entreprise autour du voilier
Nous voulons démontrer qu'avec un petit budget, un voilier de taille modeste, bien préparé par une équipe soudée et mené par un skipper très motivé, est parfaitement capable d'être dans la course.

Tout comme le chef d'entreprise d'une PME et son équipe, nous voulons affirmer notre performance au milieu de la compétition.

En utilisant la sympathie des médias pour les budgets modestes et les projets " non commerciaux ", nous voulons communiquer sur la Passion d'Entreprendre qui est source de créativité, de développement et d'épanouissement.
les partenaires

Histoire de démontrer que les PME sont plus que jamais dans la course, plus de 200 PME sont prêtes à relever le challenge.

Ensemble, nous traverserons l'Atlantique. En inscrivant le nom de votre PME sur la coque du bateau, c'est notre projet qui portera Votre ... Notre "Passion d'Entreprendre".

L'aventure ne passera pas inaperçu ...

Objectif
A travers des navigations au long cours, créer des programmes de réinsertion de personnes en désocialisation, handicapées et de jeunes en difficulté.

Moyen
Grâce aux subventions et au mécénat, constituer le budget nécessaire à cette aventure humaine.

Avantages Quels bénéfices pour votre entreprise ?
• Entreprise citoyenne
Développer l’image citoyenne de votre entreprise en interne, auprès de vos salariés. Fédérer un groupe de salariés autour d’un projet commun. Valoriser l’image de votre entreprise grâce aux valeurs véhiculées par la voile. (aventure, voyage, courage, ténacité, solidarité, écologie, …)
• Vous contribuez de façon directe au bien-être des exclus.
La voile est un excellent outil de réinsertion :
- la voile permet de retrouver confiance en soi, en relevant un défi. En recherchant l’autonomie,la personne handicapée ou le jeune désocialisé se construit une nouvelle identité. La participation à la vie du bord et toutes les contraintes liées au milieu marin relancent une dynamique de réadaptation. En organisant et en réalisant un programme humanitaire au cours du voyage, la personne passe du statut d’aidé à celui d’aidant, beaucoup plus gratifiant. Enfinl e voyage en voilier constitue une véritable rupture d’avec le milieu habituel, et aide à oublier ce que fut l’isolement, l’exclusion et les mauvais traitements dont on a pu être victime.
• Votre entreprise contribue à la création d’emplois
• Communication externe
Votre entreprise sera directement associée au projet par la présence de votre logo sur la coque et dans toutes les productions (affiches, tracts, articles de presse,. De plus le bateau arborera à chaque escale des drapeaux de chaque partenaire dans la mâture.

L’Association Qui sommes-nous ?

Mener des actions pour et avec des personnes en grandes difficultés psychosociales liées à la précarité, en développant prévention, insertion et affiliation culturelle. Ceci nous conduit à travailler en réseau multiprofessionnel, moyen d’une complémentarité inscrite dans la durée.

Le projet conduit :
- à un abord global de la personne en souffrance et de ses problématiques,
- à la participation active de la personne à toutes les étapes de son projet comme à celui de l’association (les usagers sont représentés dans toutes les instances associatives),
- à un réseau interprofessionnel qui permet la cohérence et la complémentarité des intervenants dans les domaines de la santé, de la socialité et de la culture.

Le projet : soutenir une réaffiliation culturelle coordonnée à des actions de santé et d’insertion sociale.
De plus en plus de jeunes sont en difficulté et même parfois en rupture familiale, scolaire, sociale, professionnelle. Les signes en sont multiples : errance, perte des valeurs, absence d’idéal pour les uns, attirance pour les toxiques, les conduites dangereuses ou même suicidaires dans les cas les plus graves. Si le problème social est majeur et évident, nous y repérons l’expression d’une véritable acculturation.
Le facteur culturel est à notre avis et selon notre expérience déterminant dans la réussite – ou l’échec, des tentatives d’insertion de ces jeunes. Ceux-ci, incapables de s’inscrire dans l’histoire des générations, d’hériter puis de transmettre ne voient aucun sens à leur vie. Ils le disent et le montrent.
Au fil des mois et des expériences douloureuses, s’insinue l’idée d’une souffrance inutile, sans espoir, dont la honte serait le seul contenant.
Objectifs du projet
Nous favorisons la création, l’expression puis la production. C’est une manière de contribuer à une réaffiliation qui - nous en avons l’expérience – optimise l’insertion, l’apprentissage de la citoyenneté, l’inscription dans la mémoire collective.
Il s’agit aussi à titre individuel comme à titre collectif de faire évoluer les représentations en se confrontant à l’autre, différent, comme à un vrai public.
Les difficultés d’Etre, les expériences douloureuses doivent pouvoir être évoquées, travaillées, dans le respect de la personne, l’appartenance au groupe et les nécessités du travail. Nous avons concentré l’attention sur la peur, sur la démesure , sur l’excès ,puis sur la famille monoparentale
une plateforme multimédia avec ordinateurs en réseau et accès internet en accès public 34 heures par semaine. Elle se complète d’un site internet. Elle permet l’initiation à l’outil informatique, une optimisation de la communication, de l’expression et des échanges (une adresse e-mail pour chacun).

Le projet présenté ici a un caractère culturel, sportif et économique évident et il s’adresse à des personnes essentiellement jeunes. Il est indissociable des volets complémentaires que sont la santé et l’insertion sociale.


« Que feriez-vous, vous, si c’était à refaire ? ».

Confrontés au marché de l’emploi, les jeunes, diplômés ou non, posent le regard sur leur scolarité passée. Ils le formuleront sans contrainte et sans avoir à justifier leur point de vue.

Le rôle de l’équipe sera aussi de veiller à préserver le sens et les mots de leurs propos.

Quelles personnes ?
Un contrat de travail, assorti d’une rémunération
L’embauche donne lieu à la signature d’un contrat à durée déterminée ou, plus exceptionnellement d’un contrat à durée indéterminée à temps partiel. L’association intermédiaire devient alors l’employeur de la personne embauchée. A ce titre, elle est notamment responsable du paiement du salaire, lequel est calculé sur la base :
- soit d’un nombre d’heures forfaitaire, précisé dans le contrat de travail,
- soit du nombre d’heures effectivement travaillées chez l’utilisateur.


Chantier d'insertion
Objectif
Faciliter l'insertion professionnelle de personnes rencontrant des difficultés particulières au moyen d'une mise en situation réelle de travail à mi-temps, d'une formation et d'un accompagnement socio-professionnel sur l'autre mi-temps

Statut
Opération portée par une association

Publics concernés
Jeunes et adultes sans emploi rencontrant des difficultés sociales et professionnelles
Après avis de l'ANPE
Priorité est donnée aux allocataires du RMI